Faucheuse
(par Hellaya)(Thème : FĂ©e des dents)
Au plus profonds des enfers, vivait une entité qui tous respectait, elle était mère de toute âme en se monde les ayant fais naître de son doigt fécond. Son autorité était ineffable dans une hiérarchie offrant équité sur ces terres arides.
A son côté, gouvernais la famille des songes, des créatures crées par les peur et les rêves des humains. Parmis elles se trouvaient, le père fouettard, le Marchant de sable et une multitude d’extravagance.
Un jour, la faucheuse convoqua les jumeaux le croque mitaine et la fée des dents pour leur confier une mission très importante. Pour la première fois une âme se refusais a sa douce mort, la faucheuse n’était pas parvenue à mettre le doigts sur la trace laissé par son âme.
Les deux jeunes songes devaient alors se rendre sur terre découvrir comment le jeune garçon échappait il a son destin.
Lorsqu’ils arrivèrent dans ce monde inconnu, les jumeaux s’emerveillèrent du nouveau univers qui s’offraient a eux. Eux qui n’étaient jamais sortis des rêves des enfants, voyaient enfin le monde dans lequel ils évoluent. Ils découvrirent un miroir, dans lesquels aucun reflet n’apparaissais, ils voulurent goûter une glace, qui eu le goût de charbon. C’est alors qu’ils sentirent de la vie posé sur une table, le croque-mitaine s’approcha d’une citrouille.
— Dis moi toi, oĂą es le garçon de cette maison ?
— …
— RĂ©ponds moi quand je te parles au non de la vĂ©nĂ©rable faucheuse !
— Tes trop agressif, essaie d’être doux pour une fois.
— Si t’es si forte t’a cas essayĂ©.
La fée des dents se racla la gorge.
— Peux tu me dire oĂą es ton propriĂ©taire ? Nous voulons lui offrir la grâce de notre sainte faucheuse.
— …
— Dis donc tu pourrais montrer plus de respect tu sais qui on est ? Je vais t’écraser te pulvĂ©riser, t’anihiler, s’énerva la douce fĂ©e.
Le croque mitaine éclata de rire.
— Alors on perds patience ?
Elle ne répondit pas et se concentra pour sentir un souffle de vie plus important.
— Vas y il est l’étage.
Il monta lentement, lorsqu’il entra dans la chambre, la pièce était vide, fenêtre ouverte, rideau au vent.
Comment a-t-il pu savoir que j’étais la ?
— Il a senti ma prĂ©sence, comment peut on approcher quelqu’un qui a une longueur d’avance ?
— Cette fois ci c’est a moi de jouer, et cette fois, je ne perdrais pas mon sang froid.
La fée des dents sortie a l’extérieur avec la ferme attention d’offrir une récompense a ce jeune prodige.
— Vous venez m’offrir une pièce ? demanda une petite voix affaiblie.
Elle se retourna le visage aussi doux que son sourire.
— Comment as-tu su que je venais mon jeune garçon ?
— Vous pensiez très fort, vous m’avez fais mal au crâne.
— Oh mon petit je suis dĂ©solĂ©e.
Elle observa le visage pâle et creuser du petit garçon.
— Mais tu m’a l’air bien malade, tu as mal.
— Oui, ma maman dis qu’un jour j’arrĂŞterais d’avoir mal.
— Tu sais que je suis une fĂ©e ?
— Oui c’est pour ça que vous avez des ailes.
— Veux te venir dans mes bras ? Je te soulagerais de la maladie.
Le petit garçon se blottie alors dans les bras de la fée et s’endormie paisiblement pour rejoindre les lymbes.