Louis croix bâton vé
(par melle.maudite)(Thème : MĂ©lilĂ©mots 4)
A l’époque de Mazarin, des spécialistes, d’administrateur et des techniciens. Le royaume n’était pas dirigé par le roi, c'était la régence d' Anne d’Autriche. Le “roi” est jeune, il n’est pas sacré, bien qu’il soit légitime par le sang.
La vaisselle blanche, en argent, immaculée, des cuisines choi irrémédiablement sur le sol.
Car la population de la ville de paris force les portes d’un palais. D’un palais ? Mais quel palais ? Le Palais-Cardinal, que Richelieu leur a cédé. Heureusement qu’il n'avait pas de lance roquette.
Mazarin, l'opiniâtre diplomate romain, amateur d’arts, a peur pour son grade, sait que la population ne l’aime pas, les mazarinades pamphlets anonymes en son honneur le lui fait bien comprendre. Il ne sait pas ce que la population lui réserve s’ils l'attrapent.
La foule s’approche, confuse avec un fourmillement compliqué. Amphigourique, ne sachant pas exactement quoi faire.
Vont t’il enlever Mazarin ou ils ne font que venir voir l’enfant.
L’enfant lui, est terrorisé, dans son lit. Il tremble, il hésite. doit-il partir ? ou rester ? Que va-t-il arriver quand les gens arriveront ?
La Fronde gronde et terrorise le petit prince.
Le lendemain, comme tous les matins, les parisiens eurent leur nouveau mazarinades du jour, risible, et ils s'accordent par le couplets :
ĂŠtes-vous du parti,
Mon ami,
De Condé, Longueville esperluette Conti ?