Ses yeux, ses yeux l’obsédaient, comme un regard permanent sur lui qui le hantait jusqu’à dans ces rêves. Jamais il en avait vu d’aussi profond. Ce n’était pas rare que Louis tombe amoureux mais c’était la première fois que cela l'empêchait de dormir. Cette nuit fut blanche, et ce malgré tout ce que Louis eut fait. Il ne croyait plus au hasard bien sûr, ça allait en être, officiellement. Il avait réussi à lui demander son nom, Aurore Brugia, N’importe qui était trouvable sur internet et s’il combinait cela avec un bon vieux annuaire, au bout de quelques heures il savait tout, adresse téléphone et étude. Maintenant commençait la partie la plus dure de la rencontrer par chance.

Cela faisait maintenant une heure qu’il attendait en face de son école, il était sous la pluie sous son parapluie. La pluie ne l’embêtait pas, au contraire, cela l’arrangeait.

Puis elle sortit, elle était encore plus belle que sur les photos ou que dans ses souvenirs. Il suffit d’un long regard pour qu’elle s’approche sans un mot, sans un signe leur esprit avait compris.

Louis suivit cette nymphe et profita du peu d’espace dans ce cercle sec pour effleurer ces doigts, il rougi. elle lui prit la main. iels avançaient sans que Louis sache leur destination mais ça lui allait.

Le temps passait au ralenti pour Louis, tout son esprit était concentré à enregistrer ce moment. Chaque goutte d’eau qui tombait du parapluie auraient une place dans sa mémoire, mais ce qui retenait le plus son attention c’était son visage si envoûtant. Le son de leur pas dans les flaques faisait comme une symphonie. Louis était comme plongé dans un autre monde, il se baignait dans ses yeux.

Une porte, c'était probablement le moment des adieux, un regard gêné puis elle entre chez elle. Mais laissa la porte ouverte, puis fit un signe de la main l’invitant à monter. une autre porte qui elle fut très vite ouverte, puis iels arrivèrent dans l’obscurité, et leur lèvre se touchère, sur son poignet Louis senti quelque chose de froid, puis un “clic” se fit entendre. Elle parti laissant louis seul dans une pièce dans le noir menotté