Le train m'avait emené jusqu'en bas du mont malade. Bien sur le reste du trajet allait devoir ce faire à pied. La où on allait les cheuveaux n'étaient pas autorisés. Le mont malade n'était pas le nom officielle bien sur, juste la manière dont les habitant de cette colline l'appellait. Faut dire que depuis l'installation de la carrière il n'y avait plus beaucoup de vie les oiseaux avaient fuient. Les humains ? Et bas on se péparait à se battre. Je suis vennu comme beaucoup d'autre de la ville pour aider les natifs à se défandre. On était trois, Moi matthieu, le géant, je faisais une tête de plus que tout les autres humains, alors je comptais sur mon intimidation, mais si ça finissait mal je comptais sur : Yon, Une ferocité extrème malgré une taille peu à son avantage. Garçon ou fille personne ne le savait et ceux qui avait verifié ne voulait pas trop en parler. Toujours muni de son chapeau et de ses brettelles c'était sur lui qu'on comptait pour charger. Et bien sur Sylvin, maigrichon mais qui a besoin de muscle quand on a un cerveau comme le sien.

Après plusieurs heure de marche nous atteignons enfin le campement entourer par une baricade fait avec le bois qu'ils ont réussit à trouver. Une défance bien maigre face à ce qu'on allait recevoir.

Les nouvelle était pire que ce que je pouvais imaginer nos armes était consitué vaguement d'explosif et surtout de caillou à lancer. Pas un sol colt était présent. Nous decidions tout de même de rester. Pour nous cette endroit était un sence à la vie, alors le défandre serait un sens à notre mort.

La nuit tombe, un éclaireur nous averti que l'armée n'est pas loin et qu'ils attaqueront probablement à l'aube. Cette nuit nous avons dormi coller tout les trois pour calmer nos peur.Et non je ne vous dirait pas si c'était un garçon ou une fille.

Au moment ou j'écris ces dernière ligne l'alerte est lancé l'armée arrive et eux ils sont équiper et deux fois plus nombreux que nous. Alors même si je vais mourir j'éspère que ce texte sera lu et je m'exuse pour les fautes je risque de ne pas pouvoir me relire.