— Mais du coup tu prends quoi comme cĂ©rĂ©ales?

— Je suis pas vraiment sĂ»r que tu aies compris ce que j’ai essayĂ© de t’expliquer…

— Si j’ai compris, on doit vraiment faire un truc pour sauver les ours polaires, les kangourous et les bĂ©bĂ©s phoques.

— Rassure moi tu sais qu’on est aussi menacĂ© hein?

— Bah oui, Ă  quoi ressembleraient nos vies sans bĂ©bĂ©s phoques?

— Ouai effectivement je ne pense pas que le monde pourrait surmonter une aussi grosse perte que celle des… bĂ©bĂ©s phoques.

— tu vois tu es d’accord avec moi.

— j’étais ironique

— ah

— Bon je suppose que toute la partie Ă©cologie radicale contre le capitalisme tu as pas vraiment compris non plus?

— euh…

— Bon pour faire court on doit couper les circuits Ă©conomiques habituelles

— pourquoi?

— PARCE QUE!

— je voulais juste savoir

— je te l’ai dĂ©jĂ  expliquĂ© mille fois, l'Ă©conomie actuelle, force des production inutile et sans aucun respect pour le vivant.

— Et du coup je vois pas vraiment le lien avec ça et chier dans les villes

— On va les dĂ©gouter des villes.

— Ça fait quand mĂŞme longtemps qu’on fait ça et on peut pas vraiment dire que ça marche

— Si tu as une autre idĂ©e de ce qu’on peut faire contre la fin du monde en tant que pigeon, je t’écoute.