L'Académie de Lu





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Défi de Copeland (phrases imposées)

Mélilémots (exquis, arbitre...)

Mélilémots (champ lexical de la plage)

Mélilémots (céréales, kangourou...)

Père Noël et Lapin de Pâques

Academy Universe - ancien lore


Une réunion particulière

(par Elinor)
(Thèmes : Père NoĂ«l / MĂ©lilĂ©mots 1 / MĂ©lilĂ©mots 2 / MĂ©lilĂ©mots 3 / DĂ©fi de Copeland)



Son corps était tout ce dont il avait besoin. Le rituel ne pouvait s’en passer, je le savais pertinemment. Je l’observai, les yeux mi-clos, les muscles tendus à l’extrême. Je ne pouvais m’empêcher de penser à lui, à ce que nous avons vécu...

Mon téléphone sonne. Il va être l'heure pour moi d'y aller. Je quitte à regret la pelouse verdoyante de l'Académie. Je serai bien rester un peu avec les autres à écouter la douce voix de Lou lire tout en tentant de rendre bronzée ma peau blafarde, mais le devoir m'appelle... C'est la première fois que je suis appelée à représenter l'Académie à l'extérieur. Je suis anxieuse, j'ai peur de ne pas être à la hauteur. Mais le moment n'est pas au stress.

Je commence par retrouver Lu' pour lui rappeler mon absence. Comme à son habitude, elle est dans le bois avec un petit groupe d'élèves pour continuer les réparations. Les dégâts qu'a infligé la bombe de Malkym sont considérables. Mais grâce à nos efforts acharnés, l'Académie renaît peu à peu de ses cendres. Si nous continuons comme cela, tout sera prêt pour la rentrée prochaine, peut-être même avant. Ce n'est qu'une question de semaines, voire d'un ou deux mois tout au plus

Notre directrice est en effet entourĂ©e de quelques Ă©lèves, Ă  les diriger tandis qu'ils portent des troncs qui serviront sĂ»rement pour la charpente. En me dirigeant vers elle, je suis heureuse de ne pas m'ĂŞtre encore changĂ©e : le mĂ©lange de poussière et de terre est si agrĂ©able Ă  sentir, mais Ă©galement si salissant...

— Coucou Lu' ! Juste pour te prĂ©venir... je pars Ă  ma rĂ©union. Je suis vraiment dĂ©solĂ©e de vous abandonner alors que nous sommes en plein milieu des travaux mais tu comprends, je ne peux pas ignorer une convocation officielle.

— Je te l'ai dĂ©jĂ  dit Elinor, me rĂ©pond-elle d'une voix douce, ce n'est pas un problème. C'est mĂŞme gĂ©nial que l'AcadĂ©mie gagne en renommĂ©e. Et tu ne t'absentes pas pour des jours non plus, seulement quelques heures. Cesse de t'inquiĂ©ter.

Je lui offre mon plus grand sourire. Heureusement qu'elle est lĂ .

— Ah et au fait...

— Oui ?

Surmonte ton stress. Tu vas assurer.

Un petit clin d’œil, et elle retourne diriger ses Ă©quipes. Pas de doute, elle sait remonter le moral et rassurer ses Ă©lèves. C'est le cĹ“ur lĂ©ger que je me dirige vers la tente que je partage avec GaĂŻa et parfois avec No', pour me changer avant de partir. Une fois arrivĂ©e dans mon lieu de rĂ©sidence secondaire, je commence Ă  fouiller dans mes affaires pour trouver... la cape parfaite selon moi. Je crie Ă  ma colocataire qui se prĂ©lasse devant l'entrĂ©e :

— Eh GaĂŻa ! Selon toi, pour une rĂ©union officielle, tu penses qu'il faut mieux ma cape ouvragĂ©e de dorĂ© au niveau des fermoirs ou celle plus simple, simplement pliĂ©e et plissĂ©e sur la couture au niveau des omoplates ?

— La première est beaucoup plus jolie, plus classe et elle donne un rendu exquis avec ta faux. Mais t'inquiète, quoi que tu portes, tu es une mini-Faucheuse, donc tu en imposes forcĂ©ment un minimum.

— Merci la gerbille !

— On a dit quoi avec gerbille ?

— On a dit quoi avec mini-Faucheuse ?

Je lui tire la langue, et je sais qu'elle me la tire en retour. Mais malgré nos chamailleries, j'apprécie la compagnie de cette petite boule de poils. Nous rions bien ensemble, et nous savons que nous pouvons compter l'une sur l'autre en cas de besoin.

Je m'habille donc, vĂ©rifie une dernière fois que tout est en ordre pour mon absence, et je me dirige vers le portail. Je ne prĂ©fère pas entamer le voyage vers une dimension inconnue dans l'enceinte mĂŞme de l'AcadĂ©mie, on ne sait jamais ce qui peut se passer. La dernière fois que j'ai fait une erreur de calcul, les changements ont Ă©tĂ©... comment dire... radicaux. Sur mon chemin, je croise JilA qui, en bon chevalier belge, mange encore des frites. Je profite d'un moment d'inattention de sa part pour lui piquer subtilement. Alors qu'il proteste, je lui lance en m'Ă©loignant :

— Tu sais que trop de graisse, c'est pas bon pour ta santĂ© ! Et en plus, j'en ai plus besoin que toi !

Sur ces mots, je finis son paquet, je franchis la porte et je me téléporte à l'endroit désiré. Heureusement, je ne me trompe pas et arrive directement au lieu de la convocation. Et ce lieu... est on ne peut plus étrange. A première vue, c'est un établissement normal. Des murs de briques. De grandes fenêtres. Quelques vitraux au dessus des portes formées de lignes en diagonale qui s'entrecroisent. Du lierre et de la vigne vierge grimpant sur les murs. Très semblable à notre Académie en somme. Mais les personnes que je vois s'activer sous mes yeux... Je ne comprends pas comment elles sont arrivées ici.

Des personnages de fiction de toutes sortes mouvent sous mes yeux. Livres, films, sĂ©ries, bandes-dessinĂ©es, mangas, animĂ©s, jeux vidĂ©os et j'en passe beaucoup. Je suis sidĂ©rĂ©e par tout ce que je vois. Mais je remarque Ă©galement une chose... peu importe oĂą je pose les yeux, je ne peux voir qu'un seul personnage par histoire. Ni plus, ni moins. Enfin, ni moins... selon moi. Je suis loin de connaĂ®tre toutes les personnes ici... mais certaines me semblent familières. Oui-oui, la fĂ©e Clochette, Petit Ours Brun, Sam le Pompier… Chacun vaque Ă  ses occupations. Je ne parviens cependant pas Ă  toutes les identifier. Derrière ce qui semble ĂŞtre un gymnase, deux voitures font la course sur un circuit. Deux voitures ? Non. J'arrive Ă  en apercevoir une rouge, il doit s'agir de Flash Macqueen... Et Ă  en croire la taille de son adversaire, je dirai qu'il s'agit de Turbo, l'escargot amateur de vitesse.

Je jette un coup d'Ĺ“il Ă  ma montre. Zut, dĂ©jĂ  14h45 ! Ma convocation Ă©tant Ă  15h, il faut que je me dĂ©pĂŞche si je veux ĂŞtre Ă  l'heure, et ainsi ĂŞtre digne de mon titre. Une apprentie faucheuse n'arrive jamais en retard. Je pĂ©nètre dans le bâtiment principal. Mais Ă  peine ai-je fais deux pas que...

Je trĂ©buche sur une immense plaque de glace. Je tombe sur les fesses et glisse sur plusieurs dizaine de mètres avant de m'arrĂŞter avec difficultĂ© sur le sol enfin normal. Pour l'entrĂ©e digne, on repassera. Lorsque je lève la tĂŞte, une main est tendue vers moi. Je la saisis, et qu'elle n'est pas ma surprise de voir que son dĂ©tenteur n'est autre que LĂ©o Valdez ! L'un de mes hĂ©ros favoris de la saga de Rick Riordan. Mais Ă©videmment, je ne peux pas lui dire qu'il est pour moi un personnage de fiction. Je ne sais pas s'il le sait, mais l'apprendre pourrait crĂ©er un immense paradoxe. Je fais donc comme si je ne le connaissais :

— Merci pour ton aide ! Dis-moi... tu ne saurais pas oĂą est la salle 456 ?

— Toi tu es nouvelle...On est dans le mĂŞme groupe, je vais pouvoir te montrer. Du coup... c'est la première fois que tu viens ici ?

— Hum... oui. Comment tu le sais ?

— Rien qu'Ă  voir comment tu observes tout, cela semble logique. Mais ne t'inquiète tout va très bien se passer. C'est une juste une rĂ©union actuelle pour faire le point sur la situation dans les diffĂ©rents univers qui existent.

— Je ne suis pas sĂ»re de tout comprendre...

Il me regarde, son habituel sourire taquin aux lèvres et me rĂ©pond :

— J'ai l'impression que tu es venue sans savoir dans quoi tu t'embarquais... je me trompe ?

Mon regard penaud lui fait comprendre qu'il a vu juste. Il reprend alors :

— Comme je le disais, tous les ans, une personne de chaque univers connu se rend ici pour rendre compte de l'Ă©tat actuel de son monde. Cela permet aux institutions qui propagent nos histoires - les maisons d'Ă©dition je crois- d'ĂŞtre Ă  jour dans leurs papiers. Et toi d'ailleurs ? Tu viens d'oĂą ?

Quelle idiote ! J'ai complètement oubliĂ© de me prĂ©senter !

— Je m'appelle Elinor, et donc je reprĂ©sente l'AcadĂ©mie, qui comme son nom l'indique est une AcadĂ©mie pour les auteurs venant de toutes sortes de dimensions. Mais... nous ne provenons pas d'une histoire en particulier, puisque certains d'entre nous -moi y compris- proviennent du monde rĂ©el, lĂ  oĂą les gens lisent ce que nous Ă©crivons.

— EnchantĂ©, Elinor. Si je peux te donner un conseil... ne cherche pas trop de logique lĂ  dedans. Tu es lĂ  parce que tu dois y ĂŞtre, et voilĂ .D'autant que demain, tu ne te souviendras plus d'ĂŞtre venue.

— Mais alors... comment connais-tu tout ça ?

— Quand je reviens ici, mes souvenirs se rĂ©activent. Et pour ce qui est du pourquoi ou du comment... Vous autres auteurs diriez quelque chose du genre "TGCM, tant que ça sert l'histoire." Allez viens, on va ĂŞtre en retard.

— Attends... Parce qu'on est dans une histoire actuellement ?

— Qui sait ?

Sur ces mots, il me lance un nouveau clin d'Ĺ“il, me prend la main et me guide Ă  travers une multitude de couloirs. Je n'y comprends rien. Je nage dans une mer d'incomprĂ©hension, et c'est assez perturbant pour moi qui ai l'habitude de vouloir tout contrĂ´ler. Oh et puis après tout... pourquoi pas ? Si je ne me souviendrais de rien demain... autant profiter au maximum aujourd'hui ! Je purifie ainsi mes pensĂ©es, pour que rien, mĂŞme pas un petit grain de sable, ne puisse les ternir. Et je profite du moment prĂ©sent.

Lorsque nous arrivons devant la salle de classe qui correspond au lieu du rendez-vous, une Ă©trange inscription se trouve Ă  l'entrĂ©e : Le perdre m'Ă©tait insupportable. Je relevai la tĂŞte juste Ă  temps. J'esquivai la forme sombre qui me fonçait dessus, m'Ă©crasant sans aucune douceur sur le sol. Les odeurs ambiantes me montaient Ă  la tĂŞte, embrouillant mes sens. Je n'entendais pas la cloche sonner. IntriguĂ©e, je demande Ă  mon nouvel ami de quoi il s'agit. Il me rĂ©pond que c'est une citation d'un obscur livre et qu'il y en a des comme ça devant chaque salle. Je ne cherche pas Ă  en savoir plus, et nous entrons. Et quand je vois qui est dĂ©jĂ  lĂ ... je suis estomaquĂ©e ! Toutes les personnes prĂ©sentes sont des hĂ©ros de fiction que j'apprĂ©cie et admire. LĂ©o, jouant Ă  la perfection son rĂ´le de guide, commence Ă  me prĂ©senter tous les gens assis autour de la table. Je n'ose pas lui dire que je les connais tous, ça a l'air de lui faire tellement plaisir. Il me dit donc :

— Nous avons donc... Shoto Todoroki de My Hero Academia, le gars aux cheveux rouges et blancs responsable de la plaque de glace Ă  l'entrĂ©e. A cĂ´tĂ©, avec des arcs d’électricitĂ© au bout des doigts, c'est Mickael Vey, du Cercle des 17. Le vieux qui nettoie ses lames en mĂ©tal sur lesquelles il reste du sang est LivaĂŻ Ackerman, de Shingeki no Kyojin. Et puis le gars pharaon, c'est Carter Kane, que j'ai dĂ©jĂ  croisĂ© (on vient du mĂŞme univers, mais comme on est pas de la mĂŞme mythologie... bref c'est un peu compliquĂ©). Après, il y a Nami, la navigatrice de l'Ă©quipage de pirates de Luffy au chapeau de paille. Normalement, c'est lui qui aurait dĂ» ĂŞtre lĂ , je sais pas trop pourquoi elle le remplace, je crois qu'il a trop mangĂ© -ça change jamais ce genre de cgose- et qu'il a une carie, mais bon, je suis pas sĂ»r.. Les deux qui restent, Keefe et Salim, viennent respectivement des CitĂ©s perdues des elfes et de Gwenda-machin pour les gens qui dessinent. Ouais, je sais, drĂ´le de passion mais bon. Et...je crois qu'on a fait le tour. Viens, allons nous asseoir, ça va commencer.

Une femme que je ne connais pas arrive dès que nous sommes nous aussi autour de la table. Elle commence Ă  expliquer ce que LĂ©o m'a racontĂ©. Mais elle est vite interrompue par des bruits dans le couloir. Ou plutĂ´t des cris. De ma place, je vois passer dans le couloir... le Père NoĂ«l et le Lapin de Pâques ! Alors comme ça, ils sont aussi lĂ . IntĂ©ressant...Ils parlent avec animation. Je ne sais pas de quoi, mais ça a l'air mouvementĂ©. La femme sort, leur parle quelques instants, et revient en fermant la porte.

— Ne vous inquiĂ©tez pas. C'est juste qu'un lutin a fait une overdose d'amphĂ©tamines pour assurer son job, et ils s'accusent l'un l'autre d'ĂŞtre dealer. La routine dirons nous. De toute façon, ils sont incapables de se regarder en peinture alors... Il faut bien quelqu'un pour faire l'arbitre, et malheureusement, aujourd'hui, c'Ă©tait mon tour. Mais c'est fini alors... oĂą en Ă©tions nous ? Ah oui... nous allions commencer les comptes rendus... Shoto Todoroki ? C'est Ă  vous.

— Pas grand chose depuis l'an dernier, mis Ă  part [censure pour cause de spoil>. Ah et aussi, maintenant je maĂ®trise mieux le feu que Valdez.

Le garçon répond instantanément à la provocation.

— Comment ça tu maĂ®trises cet Ă©lĂ©ment mieux que moi ? Non mais pour qui tu te prends ? Tu vas voir ce que tu vas voir.

LivaĂŻ glisse un petit :

— Et c'est reparti... Tous les ans c'est la mĂŞme chose... Je me demande pourquoi je viens encore si c'est pour que les deux abrutis chantent encore et toujours la mĂŞme ritourne. Allez, je me casse.

Sur ces mots, un chaos sans nom se produit dans la salle. Des flammes jaillissent des mains des deux adversaires, et nous autres sommes confrontĂ©s Ă  un choix avec trois options : nous en mĂŞler, partir, ou contempler le spectacle. Nami choisit instantanĂ©ment son camp. Elle sort sa baguette climatique et se lance dans la bataille en crĂ©ant une Ă©norme bourrasque d'air. Keffe quant Ă  lui se met Ă  sautiller partout comme un kangourou, se demandant sĂ»rement comment ajouter le plus de chaos au dĂ©sordre dĂ©jĂ  prĂ©sent. L'organisatrice crie alors, essayant de se faire entendre :

— Comme tous les ans, je compte sur vous pour m'envoyer votre rapport avant minuit, puisque, encore une fois, vous n'avez pas l'air dĂ©cidĂ© Ă  opĂ©rer dans le calme. Sur ce... Ă  l'attaque !

Je ne sais comment, elle sort de son sac une Ă©norme pompe Ă  eau et commence Ă  arroser tout le monde... moi y compris. Alors, je prends ma dĂ©cision. Je ne vais quand mĂŞme pas me laisser faire !

Je sors ma faux, active le mode sans dĂ©gâts et me jette dans la bataille. Cela me fait tellement bien de rire et de m'amuser comme cela ! Ça ne m'Ă©tait pas arrivĂ© depuis longtemps ! Des attaques de toutes formes fusent de partout, plus personne ne sait qui est son adversaire. Et personne n'en a quelque chose Ă  faire. Le seul maĂ®tre mot ? Le dĂ©sordre !

Puis, peu à peu, tout se calme. Les tirs cessent, tout le monde reprend son calme. L'heure est venue, tout le monde doit rejoindre sa dimension. Je salue Léo et mes adversaires de fortune en leur disant à l'année prochaine, et je reprends le chemin de l'Académie. Si je suis triste de perdre tous mes souvenirs de cette formidable journée, je sais que je les retrouverai l'année prochaine...

Perdue dans mes pensées, je me téléporte au bord d'une falaise... et manque de tomber dans le vide. Heureusement, je me reprends vite et retrouve bien vite la pelouse familière de l'Académie. La nuit a commencé à tomber, il est temps que je retrouve mon maître pour ma leçon du jour.

Lorsqu'il me voit, je peux comprendre que s'il pouvait le faire, ses yeux sortiraient de leurs orbites. Il s'Ă©crie :

— Elinor... Mais pourquoi es tu trempĂ©e ?

— Oh ce n'est rien. J'ai juste assistĂ© Ă  une rĂ©union... particulière. Alors, leçon du jour ?

— La leçon du jour... est d'apprendre Ă  faucher des cĂ©rĂ©ales.

— Pardon ?

— Bon, Ă  ce que je vois, je dois encore retravailler mon humour...non, la vraie leçon est que nous pouvons faucher dans le territoire des autres faucheuses si c'est pour rĂ©cupĂ©rer une âme qui dĂ©pend de notre territoire.

— Youpi !

— Ah et au fait, j'ai fini notre participation pendant ton absence. Si la conclusion te convient, on pourra le dĂ©poser Ă  l'amphithéâtre.

Je saisis le texte, tout sourire. Je suis tellement contente de pouvoir Ă©crire avec lui, d'autant que la tournure que prennent nos collaborations est très plaisante. Je m'attarde sur les dernières phrases, pour ĂŞtre sĂ»re que tout colle bien. Et oui, nous respectons Ă  la lettre les instructions, et notre texte se termine en effet par :

C’est tout ce que je peux faire. Je pousse un profond soupir. Une main pressée contre mon épaule, j’observe les alentours. Ils ont bien changé.










Cette histoire fait partie d'un tout plus grand !











Downforyears

oui, et il est très sympa à lire. Beaucoup de références (peut être plus que dans RPO?) mais quand on les connait ça fait plaisir. Et en plus, il est court et très digeste.

En bref, j'ai beaucoup aimé.


Le 12/06/2021 à 15:53:00



JilanoAlhuin

Je commence ton texte... MES FRIIIIIIIIIIIIIIIIIIITES, comment oses-tu en voler ?!


Le 12/06/2021 à 17:03:00



JilanoAlhuin

Maintenant que j'ai fini... MES FRI... Non, on se calme... Tres bon texte qui pleut de références, comme dit Down, on dirait Ready Player One ! Excellent choix d'avoir fait appel aux personnages que tu as choisi. Keefe, Salim, Livaï, Shoto... de très bons personnages... Et le désordre final, qui n'aime pas le désordre ? Et très original ton utilisation de la dernière phrase ! Et non, je vais pas chipoter comme Schrödinger, je te rassure :eyes::sweat_drops:


Le 12/06/2021 à 17:11:00



Ellumyne

Sinon, très bon texte dans l'ensemble. Tu as réussi à placer toutes les contraintes de plusieurs défis et franchement, ça rend bien, parce que ça ne devait pas être évident malgré tout. Mais il y a triiiiche sur les phrases placées comme des citations xD. Bref, je rigole, bon boulot, et c'est toujours plaisant de te lire.


Le 12/06/2021 à 18:17:00

















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