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![]() ![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Sol Invictus(par Oleyf)Il faisait sombre dans la petite pièce qui lui servait de chambre. Dehors la lune montait sur les ruelle sombre du vieux Caire, on entendait au loin le chant dissonant d’une bande de chat sauvage. Bien que pleine, seul quelque mince rayon argenter filtrait au travers des lourd rideaux. Edmund s’assit à la petite table qui garnissait son maigre logis. Sur la table brulait deux grosses bougies noires dégagent une infecte odeur, il avait bien tenté d’allumer des bâtons d’encens pour purifier l’air mais il n’avait réussi qu’a imprégné les murs d’un relent rance et tenace. Le jeune homme caressa la couverture de cuir de l’épais ouvrage. Il suivit de ses doigt mince chaque brache de lierre qui remontait des bords de l’ouvrage pour former un mot “Inverticus”, en dessous l’on pouvait distinguer une représentation d'une jeune femme rousse un corbeau sur l’épaule. Ce livre maudit qui fut écrit par un sabbat de druide dans les ruines de Londres bruler par les hommes de Boadicé. Edmund ressortit la lettre pliée qu’il gardait précieusement dans la poche intérieure de sa veste mitée. Il n’en revenait toujours pas et repris le temps de lire la courte missive qu’il avait parcourue en diagonal une semaine au par avant de sauter dans le premier ferry en direction d’Alexendrie. “Mon cher Edmund, J’espère que vous allez bien. Je me suis rendu dans un vide grenier d’une de ses anciennes demeures de nouvelle Angleterre dont les greniers poussiéreux renferment parfois d’inestimable trésor. J’y ait trouvé une correspondance épistolaire entre un colon américain et un des archéologues qui accompagna napoléon dans son périple égyptien. Il prétend avoir trouvé le livre que vous cherchiez. Juste avant de quitter le pays, il l’aurait caché au pied des pyramides pour pas que les Anglais ne mette la main dessus. Je suis navré de ne pouvoir vous accompagner mais ma carie me fait atrocement mal et je ne pense pas être en mesure de supporté cette éprouvant voyage. Votre amis H.P.L.” Le jeune homme remis précausieusement le lettre dans la poche intérieure de sa veste. Edmund avait eu le temps du trajet pour analyser les lettres et percer à jour le code, somme tout assez enfantin pour un érudit verser dans les art occulte de son niveau. Ce livre qui avait été traduit en latin lors de la reconquête et distribué à travers l’empire. Lu par Néron alors que Rome brulait. Il fut arbitré hérétique, interdit et bruler sous aurélien. Pourchasser à travers l’empire et a ses frontières par les prêtres du soleil invaincu, il ne resta plus que quelques exemplaires. Un fut retrouvé par Attila, le fléau des dieux s’en servit pour ravager l’empire. On dit qu’un fut capturer par des pirates maures avant de se retrouver au gré des conquêtes dans la très vielle Cappadoce, où le sombre vizir Acabay Bayramoglu qui le rapporta à son sultan, le jeune Osman. Il fut traduit en arabe mais la version originale fut emmenée secrètement vers la ville sans nom dans l’antique Egypte. Dans cette cité au milieu des dunes qui était déjà vielle quand le peuple juif était jeunes. Là où le culte impie d'Aton a été rendu. Dans le nouveau capital du grand Akhenaton, Ce pharaon hérétique dont le nom a été effacer de l’histoire. Le jeune remercia encore les anciens dieux qui œuvre dans l’ombre a des dessins inavouables pour avoir ainsi mis sur sa route et celle de cet ancien archéologue cette ancien copy qu’il trouva ce matin a l’endroit indiqué dans la lettre, attendant patiemment son heure depuis plus d’un siècle. Il ouvrit et une odeur exquise de vieux livre monta jusqu’a ces narines. Là , dans le creux de ses mains se trouvait le pouvoir ancien. Les possibilités qui s’ouvraient à lui était sans limite, Il commença a réciter les formules dans l’ancien langage, un air froid fit vaciller les bougie de manière surnaturelle en se chaud moi de Mai, au loin les miaulements des chats se firent plus fort. Des tambours de guerre s’emblait maintenant faire écho a ces incantations à mesure qu’il recitait de plus en plus fort de plus en plus loin. Soudain la fenêtre vola en éclat, apparut dans l’embrasure se détachant clairement sous les rayons de la lune, une femme qui devait bien faire deux mètres avec une terrifiante tête de Lion, dont de la bouche béante sortait des grands vents du désert. Elle bondit sur le jeune homme avec une rapidité surhumaine et le projeta contre le mur. La dernière chose qu’Edmund vit avant de sombrer dans l’inconscience fut cette créature déchirer le vieux grimoire en disant dans la vielle langue des pharaons. “Je suis Sekhmet, protectrice en ce pays du grand soleil, cette hérésie n’a que trop longtemps survécu” l faisait sombre dans la petite pièce qui lui servait de chambre. Dehors la lune disparaissait derrière les ruelle sombre du vieux Caire, on entendait au loin les dernières plaintes des bandes de chat sauvage de la nuit. Edmund se réveilla en sursaut, le teint pâle, il palpa la poche intérieure de sa veste, le bruit caractéristique du froissement de papier le rassura. Ce n’était qu’un cauchemarde, bien que cette nuit agitée l’eût épuisé, il décida de partir a l’aube en direction des ancestrale pyramide. aujourd’hui il trouverait ce livre, aujourd’hui il accomplirait les recherches de tout une vie. Quand il quitta la pièce il ne remarqua pas la couverture de cuir finement ouvrager où des branches de lierre partit des bords jeter négligemment sous la table. Pas plus qu’il ne remarqua le vieux clous couvert de sang planter dans le mur ou ces quelques poils de félin à côté de la grande tâche rouge qui imprégnait maintenant le lit dans lequel il avait dormit.
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