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RouxCool![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Passé recomposé et révélations(par RoninBlanc)Dans un camp de base à proximité de ruines récemment découvertes un groupe de chercheurs est en train d’analyser une série d’artefacts découverts sur place en surface. Plusieurs de ces artefacts sont étranges en cela qu’ils ne ressemblent en rien à ce qu’il est connu par le monde, même parmi les civilisations les plus exotiques ou bizarres. Certains d’entre eux font clairement penser à des objets provenant de potentiels extraterrestres, même si cela ne pourrait être que de la simple pareidolie ou de la surinterprétation. Trois d’entre eux attirent spécifiquement l’attention des chercheurs : Une sorte de gigantesque vase, un objet pouvant ressembler à une sorte de fourreau pour une immense arme et, pour finir, une tablette avec une série de caractères totalement inconnus et cachés derrières d’habiles dessins.
Plus loin de là , à l’intérieur des ruines mais toujours en surface, un groupe d’aventuriers est en train d’explorer la zone et de faire des relevés cartographiques et chimiques. Deux des explorateurs ont sur eux divers parchemins provenant de civilisations antiques et étranges ; ces objets ont été emportés afin de tenter de relier les diverses étrangetés aperçues dans le monde. « Hé, venez voir, il semble y avoir 1 passage camouflé par ici » murmura Hélène en direction de ses compagnons d’exploration. Après que le groupe se fut regroupé au point indiqué par la jeune femme ils purent en effet constater un important passage d’air totalement illogique pour la zone. Ayant commencé à entamer la zone à coups de piolet mécanique le groupe se recula d’un bond quand la surface devant eux commença à trembler fortement. Après qu’un pan entier du mur soit effondré devant leurs yeux sans provoquer d’autres dégâts dans la zone le groupe s’avança prudemment en se méfiant des potentiels pièges pouvant être derrière ce lieu. Fabrice, Ophélie et Yann prirent la tête du groupe muni d’une multitude d’instruments de détection et d’analyse. Au bout de quelques minutes d’une marche lente et précautionneuse l’un des membres fit cette remarque : « ce n’est qu’une impression venant de moi… il y a beaucoup plus de choses dissimulées par ici que d’habitude ? Car dans la totalité des temples et des ruines antiques ayant été exploré jusque-là par notre groupe nous n’avons jamais vu de mur servant uniquement de décors ». Les discussions commencèrent alors tout en continuant la progression vers le bas de la zone. Tous et toutes parvinrent à la conclusion qu’avait émis en premier leur compagnon de fouilles et envoyèrent un rapport préliminaire grâce à un robot volant en direction de la surface ; ce robot était accompagné d’une annotation manuscrite disant ceci : « possibilité d’une découverte non humaine extraordinaire ».
Dans le camp de base à la surface, les scientifiques et savants étaient toujours en train d’analyser divers objets déjà remontés par l’équipe d’expédition quand une alerte sonna collectivement sur leur montre : « émanations radioactives récentes et prions ». Les scientifiques alertèrent le reste de la base afin que personne ne s’approche des deux structures dans lesquelles ils étaient actuellement et qu’un confinement devait être immédiatement enclenché. Après que l’alerte fut dûment signalée à tout le monde les scientifiques et savants à présent confinés se demandèrent comment des protéines littéralement déviantes (les prions) ont pu survivre dans un lieu pareil. Une des chercheuses fit alors cette supposition : ces protéines déviantes auraient été placées là intentionnellement à des fins de défense bactériologique et microbienne. Aucun des autres chercheurs de la salle ne prit cette supposition à la légère car parmi les objets remontés en tout premier certains semblaient porter en eux certains types de bacille de la peste et un ersatz apparent d’un virus de la rage beaucoup plus complexe que celui connu sur Terre. 10 minutes plus tard, après que la situation fut entièrement résolue grâce à l’utilisation d’un poison aérien n’affectant pas les êtres humains, les chercheurs remirent un rapport préliminaire concernant quatre artefacts remontés deux jours plus tôt. Ces objets, d’une utilité totalement inconnue, n’étaient visiblement pas d’origine humaine.
Du côté du groupe d’exploration une découverte sidérante fut réalisée : une gigantesque fresque murale extrêmement ancienne sur lesquels été distinctement dessiné des vaisseaux que l’on pourrait qualifier de spatiaux et des êtres clairement non humains. Il ne pouvait y avoir absolument aucun doute quant à un quelconque risque de confusion car les gravures et dessins étaient visibles et dans un état de conservation impeccable. Un des membres du groupe, Mortimer, se mit soudainement à trembler des jambes en s’approchant d’une des fresques. Alors que ses compagnons s’approchaient de lui pour s’enquérir de son état il sortit promptement de son sac à dos un grand carnet de dessins et l’ouvrit avec une vivacité quelque peu étonnante. Après être parvenu au tout début de ce grand et large carnet lui ainsi que ses comparses purent voir quelque chose de totalement stupéfiant : une série de dessins absolument identiques à l’intégralité des fresques présentes sous leurs yeux. Mortimer et ses compagnons, ne comprenant absolument pas la situation, commencèrent à tenter de rationaliser la chose mais abandonnèrent rapidement au vu de la correspondance absolument parfaite entre les dessins et les fresques. Alors que le groupe était plongé dans une confusion grandissante Mortimer se releva et se dirigea en direction d’une des fresques représentant un berceau ainsi que trois vaisseaux spatiaux. Il posa sa main sur le dessin représentant le berceau et dit ceci à haute voix : « Garnaks, Molends ». Après avoir prononcé ces deux étranges mots, Mortimer sentit sa tête tourner il commença à perdre connaissance, tout juste rattrapé de son début de chute par une des membres du groupe de recherche.
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