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Gaïa Gil'Sayan![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Dangereuse attaque(par RoninBlanc)Dans un petit aéroport privé une femme de 40 ans tout justes révolus effectuait des préparatifs sur son aéronef à réaction rapide quand elle reçut un message d’alerte concernant une nouvelle mission : « À l’intention de la mystérieuse se faisant appeler la Poètesse du Vent Salin : nous recherchons vos services afin d’attaquer et de détruire un zeppelin affrété par la compagnie de l’Eucalyptus Noir ; en plus de cela nous vous mandons pour récupérer une personne spécifique présente à bord de ces zepplin et retenue contre son gré sans qu’elle n’en soit consciente ». Juste après ce message était présente une photo montrant apparemment un homme âgé d’une trentaine d’années entouré de gardes et d’un sorcier. Alors que la pirate des airs professionnelle était en train de regarder des plans de navigation aérienne elle reçue un tout dernier message disant simplement ceci : « Son nom de code est Palder tandis que son NV est Pascal Marchelune ». La pirate, Agathe, failli faire tomber son immense téléphone portable. Et pour cause, le nom de code ainsi que le nom véritable mentionnés dans le message étaient ceux d’un important personnage disparu il y a environ 10 ans lors d’une expédition en territoires étranges dans de mystérieuses conditions alors qu’il investiguait la zone afin de potentiellement trouver une solution à une pandémie en cours sur la planète. Après s’être remise de sa énorme surprise Agathe et termina les préparatifs qu’elle était en train de réaliser sur son aéronef ainsi que divers armements très insolites. Parmi ces armements deux d’entre eux étaient à l’origine du surnom que cette pirate porte à leur actuelle : d’une part une sorte de canon à eau remplie d’eau extrêmement salée pouvant faire pâlir le taux de salinité du lac Assal et d’autre part un RPG à une main lançant des projectiles qui, à l’explosion, projettent une quantité phénoménale d’un sel modifié et extrêmement corrosif, même pour certains des matériaux les plus résistants sur la planète.
Le surnom de « Pirate au Vent Salin » lui a été donné par quasiment tout le monde non seulement au vu de ses armes mais aussi de son mode opératoire lors de ses attaques. Dans la plupart des cas lors d’attaque sur des gros aéronefs ou des avions (pour les montgolfières cela est un peu différent), elle procède de cette façon : dans un premier temps, une approche furtive et rapide en passant par l’un des points aveugles de quasi tous les systèmes de surveillance utilisant des cristaux de détection. Une fois le contournement réalisé, la femme pirate lance alors deux salves avec ses minibazookas portatifs puis, en accélérant brutalement son vaisseau, se sert de l’une des ailes renforcées de ce dernier afin de creuser une large fente dans la cible. Après avoir réalisé ceci, elle rétracte l’aile lui ayant permis de faire ce trou afin de se laisser tomber en piqué et d’échapper à d’éventuels tirs de riposte avant de repartir en ayant redéployé les deux ailes de son véhicule volant. Une fois les préparatifs terminés, elle sort promptement avec son engin en direction de la cible, cette dernière venant tout juste de quitter son quai d’embarquement à 10 km de là . Après six minutes de suivi furtif de l’engin appartenant à l’Eucalyptus Noir, Agathe se décida à aborder la phase la plus périlleuse : l’attaque et la récupération. Se servant d’une fonctionnalité qu’elle venait tout juste d’intégrer à son aéronef, elle sépara celui-ci en deux afin de faire diversion. La première partie, quasiment autonome grâce à une intelligence artificielle de sa conception, se devait de faire diversion en attaquant les turbines du vaisseau afin que les forces de défense et de réparation se concentrent dessus tandis qu’elle, avec son autre moitié de vaisseau, se dirigerait vers la zone présumée de là où était la cible de la récupération. Après cette séparation, elle parvint à une partie ouverte de l’aéronef et très peu gardée ; elle fit exploser une porte en verre fumé sur la gauche avec l’un de ses bazookas portatifs afin d’y pénétrer plus facilement. Une fois parvenue dans une salle apparemment entièrement vide, elle repéra une anomalie ainsi qu’une signature chimique indiquant un être vivant derrière un pan de mur. Pénétrant prudemment par le plafond, elle arriva dans une pièce large, mais peu longue dans laquelle était présent un lit bardé de chaînes. Sur ce dernier était présent un jeune homme entrain vraisemblablement de dormir. C’était la cible qu’elle devait ramener sur la terre ferme.
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