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JilanoAlhuin![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Le voyageur(par JilanoAlhuin)Dans les Ă©gouts abandonnĂ©s de la ville, dont l’odeur horrible rejetait tout sauf les crĂ©atures de la Racine, une petite souris noire se dĂ©plaçait, passant entre les tuyaux et quelques vieux dĂ©bris, laissĂ©s par d’anciens survivants qui n’avaient pas pu affronter les envahisseurs. Elle allait Ă toute allure, essayant de fuir un des monstres qui se trouvait dans cet endroit. L’animal s’arrĂŞta Ă un cul-de-sac, sa seule opportunitĂ© de fuite bloquĂ©e par de la terre qui s’était effondrĂ©e. Si elle le pouvait, elle aurait grimpĂ© l’échelle Ă cĂ´tĂ© d’elle qui menait Ă la surface. La bĂŞte se retourna pour voir son meurtrier. Une crĂ©ature de chair qui avait la forme d’une boule, arrivant Ă peine au bassin des humains que l’animal avait vus, vĂŞtu de simples bouts de tissus dĂ©chiquetĂ© et avec des semblants de pieds et de mains, dans lesquelles se trouvaient des haches d’un bois aux veines rouges, mais qui Ă©taient plus tranchantes que du mĂ©tal. En voyant son bourreau approcher, la souris ferma les yeux, attendant le coup fatal. Qui ne vint pas. Au lieu de cela, un bruit la fit sursauter, puis suivit le râle d’agonie du monstre. Elle rouvrit les yeux et vit un humain qui descendait. AccrochĂ© Ă une main, il avait tirĂ© de l’autre Ă l’aide d’une arme, mĂ©lange de mĂ©tal et de l’étrange bois qui avait envahi les lieux. L’humain Ă©tait habillĂ© d’une longue veste brune, dĂ©chirĂ©e par de nombreux voyages ou combats, d’un pantalon sombre trouĂ© au genou gauche et des chaussures noires boueuses. Il avait sur son torse un semblant de plastron mĂ©tallique abĂ®mĂ©. Il toussa un instant tout en faisant mine de faire du vent devant lui, comme si ce simple mouvement allait permettre Ă l’odeur de putrĂ©faction de s’échapper. — Pourquoi faut-il que je passe par ici… grommela-t-il. Il posa un genou au sol, et identifia avec ses yeux bleus le petit animal terrorisĂ©. Il se gratta sa barbe courte et mal entretenue, avant d’approcher sa main vers la souris. Il y avait un petit morceau de nourriture, probablement la sienne, et la bĂŞte terrifiĂ©e s’en approcha. Elle sentit d’abord le cube Ă l’odeur si diffĂ©rente de celle habituelle, avant de monter sur sa main et de manger. C’était comme si le cĹ“ur de l’animal fondait devant un dĂ©lice. La bĂŞte elle-mĂŞme avait oubliĂ© depuis combien de temps elle n’avait pas mangĂ© quelque chose de normal. — Tu viens bonhomme ? Ce sera mieux que de rester ici… murmura l’étranger. Sans se faire prier, l’animal grimpa sur son Ă©paule et s’installa dans le sac Ă dos de l’homme, ne laissant apercevoir que sa petite tĂŞte. Le sac de l’étranger contenait beaucoup de choses, boĂ®tes de munitions, fioles aux contenus Ă©tranges, nourriture, eau ou encore bandages, il semblait prĂ©parĂ©. L’homme continua la route dans ce lieu sordide, alors que l’animal poussait de petit cri pour tenter de parler avec lui. — Ne t’inquiète pas, on va sortir d’ici. Je dois retourner quelque part, et ce sera mieux qu’en haut, tu verras. En plus lĂ -bas, y a pas ces foutus monstres qui tentent de te tuer Ă longueur de journĂ©e ! La souris n’était pas rassurĂ©e pour autant, mais elle se dĂ©cida Ă faire confiance Ă cet homme qui lui avait sauvĂ© la vie. L’homme avançait prudemment, mais avec assurance. ArmĂ©s de son pistolet et d’un vieux fusil Ă pompe, il n’hĂ©sitait pas Ă tirer sur tout ce qui bouge, tant que ça ne ressemblait pas Ă un humain ou un animal normal. Quand il revoyait les crĂ©atures de chair ronde, il tirait sans hĂ©siter, n’hĂ©sitant pas Ă sortir une petite machette accrochĂ©e Ă sa ceinture pour Ă©viter de recharger et ainsi Ă©viter de perdre un temps prĂ©cieux. Il y avait d’autres monstres, qui n’avaient qu’un seul objectif : tuer tout ĂŞtre qui osait les rencontrer. Le jeune homme avait croisĂ© d’étranges crĂ©atures dĂ©nuĂ©es de bras, mais avec une tĂŞte, ou ce qui s’en rapprochait le plus, plus grande que le corps, dĂ» Ă des pustules azalĂ©es qui avaient poussĂ©s sur son crâne, si elles en avaient un. Il prenait uniquement ses armes Ă distance contre ces choses. La souris observait avec attention, les oreilles baissĂ©es, le combat de son sauveur. Il visait prĂ©cisĂ©ment, comme s’il Ă©tait nĂ© pour ça, et tirait. Quand ses balles transperçaient ces choses, il Ă©vitait d’avancer et gardait mĂŞme une assez bonne distance. En effet, les monstres se mettaient Ă grossir jusqu’à exploser et libĂ©rer un gaz immonde et empoisonnĂ©, ne laissant rien derrière eux. Cela ralentissait Ă©normĂ©ment l’aventurier qui ne se dĂ©montait cependant pas. Patiemment, il attendait quelques minutes avant de s’aventurer Ă nouveau. Pendant ce temps, il observait les murs autour de lui et les tuyaux rouillĂ©s. La Racine, comme les humains l’avaient appelĂ©e, s’étendait partout. Les murs Ă©taient envahis d’une Ă©trange mousse rouge, crĂ©ant Ă©galement une vĂ©gĂ©tation par-dessus qui ne prĂ©sentait jamais rien de bon. C’était peut-ĂŞtre de lĂ que venaient ces monstres meurtriers, mais rien n’était sĂ»r. L’homme jetait parfois des regards Ă l’animal, s’inquiĂ©tant de celui-ci. — On va sortir de ce trou, lui murmurait-il, cherchant Ă calmer la souris. Il s’arrĂŞta devant un mur dĂ©truit, et ce qu’il pouvait y avoir. Il vit alors une crĂ©ature tout aussi difforme que les autres, faite de bois et de chair, donnant une apparence humanoĂŻde. Il portait quelques bouts de mĂ©tal, comme une Ă©paulière ou un pagne d’acier, et possĂ©dait un semblant d’épĂ©e lourde qu’il tirait au sol. Mais ce n’était pas ça qui attirait le regard de l’homme, qui Ă©tait presque sur le point de vomir. Il observait plutĂ´t les cadavres qui gisaient au sol, inerte. Le prĂ©cĂ©dent groupe n’avait pas eu de chance. Tous Ă©taient mort. Leur sang et leurs organes avaient quittĂ© leur corps et Ă©taient envahis par de petits vers blancs qui les dĂ©voraient. La crĂ©ature semblait arpenter sans but cette Ă©trange pièce. L’aventurier secoua la tĂŞte, avant de se retourner, entendant des pas derrière lui. Il se retourna et vit un des ces monstres explosifs Ă seulement quelques pas de lui. Il dĂ©gaina son pistolet, le pointa, trop tard, la crĂ©ature commença dĂ©jĂ sa morbide fin. L’homme mit ses bras devant lui et fut repoussĂ© Ă plusieurs mètres de distances. Il toussa et cracha un peu de sang, tout en observant un grand morceau de sa veste. Ou plutĂ´t, un morceau de son bras dĂ©sormais dĂ©tachĂ© de son corps. L’animal s’en Ă©tait sorti de justesse Ă©galement, ne subissant que de fines Ă©raflures sur son corps, mais rien de grave. L’homme enleva vite son sac, et tout en reculant du trou commença Ă se bander le bras pour essayer d’arrĂŞter la circulation de son sang qui coulait. Il fallait un vrai mĂ©decin, mais il n’avait pas le luxe actuellement d’en avoir un. La souris poussa des petits cris terrorisĂ©s, et l’homme vit le monstre qui Ă©tait sorti. Ses yeux rouge sang l’avaient pris en chasse. — GĂ©nial… dit-il en se relevant, plaçant son sac sur son dos une fois son Ĺ“uvre achevĂ©e. Il se mit Ă courir loin de la bĂŞte, suivi de la souris. Celle-ci jeta un regard derrière elle et vit le monstre hurler, avant de se mettre Ă pourchasser le pauvre homme. Sa lame traçait au sol une ligne irrĂ©gulière, tout en rappelant Ă l’aventurier de fuir. Il poussa un soupir de soulagement, alors que son souffle devenait irrĂ©gulier tant il Ă©tait Ă©puisĂ©. Il aperçut une Ă©chelle qui menait Ă la surface. Il s’en approcha, s’arrĂŞta un bref instant pour que l’animal puisse remonter dans son dos, avant de regretter son geste anodin. Le monstre l’avait atteint. Il balaya d’un geste d’épĂ©e devant lui, espĂ©rant couper l’intrus en deux. Il l’évite de justesse, avant d’être repoussĂ© d’un violent coup de bras. DĂ©sarmĂ©, l’aventurier rampait. La souris eut un Ă©lan d’espoir en voyant la machette peu loin de celui-ci, mais il semblait ne pas l’avoir vue. Elle se dirigea vers l’arme, tandis que la crĂ©ature sadique faisait traĂ®ner son arme, profitant de chaque seconde de souffrance. La souris poussa son petit cri dĂ©sespĂ©rĂ©. Le monstre leva son arme. Puis c’était le silence. L’arme d’acier tomba au sol, tout comme la tĂŞte du monstre qui roula. L’homme s’était levĂ© en saisissant la machette et en coupant d’un geste rapide et puissant le monstre. Il haletait, le cĹ“ur battant comme s’il allait rompre. Il s’assit au sol, avant de se tourner vers la souris. — Jamais… Jamais j’aurais cru ĂŞtre sauvĂ© par une petite souris… L’animal s’approcha du moignon de l’homme et semblait inquiet. L’homme soupira et posa son sac devant lui. Il en tira une fiole, et en enleva le bouchon, ce qui fut compliquĂ© avec son membre en moins. Il versa alors le contenu sur sa blessure, tout en grognant de douleur. Il se retenait de hurler, pleurait tant il avait mal. Quand enfin il arrĂŞta, il remit le bouchon et remit la fiole dans son sac. — C’est pas de la qualitĂ©, mais ça m’évitera de mourir. Pour le moment, en tout cas. Remonte, on va sortir, bonhomme. La souris remonta dans le sac et l’homme grimpa l’échelle aussi bien qu’il le put. Une fois arrivĂ© au sommet, il repoussa la bouche d’égout et sortit de ces lieux malodorants. Il prit une grande bouffĂ©e d’air, tout comme l’animal. La petite bĂŞte observa les bâtiments abandonnĂ©s, les immeubles ravagĂ©s, les voitures brĂ»lĂ©e et le sol dĂ©formĂ©. MĂŞme en surface, tout semblait horrible. Le voyageur devait avoir une excellente raison de se dĂ©placer. Il reprit la route en marchant, Ă©vitant soigneusement les crĂ©atures sur le chemin. Il entra dans un immeuble, monta de deux Ă©tages, passa un pont de fortune qui le reliait Ă un autre, avant de s’arrĂŞter et de se pencher Ă une fenĂŞtre. Il observait au loin de ce qui ressemblait Ă une entrĂ©e souterraine, bien plus grande qu’une simple bouche d’égout, sur laquelle il Ă©tait inscrit en grand : « Service 12 ». Les monstres rĂ´daient autour, attendant patiemment l’ouverture. L’aventurier soupira tout en se perdant dans sa rĂ©flexion. Il pouvait y aller de manière violente, hurler de tout son corps et se jeter dans la bataille, mais c’était une idĂ©e pour le suicide. La discrĂ©tion allait ĂŞtre compliquĂ©e, avec son bras en moins, surtout avec ses armes. Peut-ĂŞtre que durant la nuit, ça allait s’arranger. L’homme enleva son plastron comme il le pouvait et le dĂ©posa au sol, leva ton t-shirt qu’il avait en dessous, avant d’observer son torse, comme s’il s’attendait Ă voir quelque chose, mais il n’y avait rien de particulier, mis Ă part les quelques marques de son plastron sans doute trop serrĂ©. Il soupira et remit son Ă©quipement. La petite souris sortit du sac et se planta devant lui, se demandant ce qu’il faisait. Comme s’il avait compris, il dit : — Je vais attendre que la nuit arrive. Y aura sans doute moins de ces crĂ©atures. L’animal fit alors les cent pas, explorant le petit immeuble comme s’il Ă©tait un de ses habitants le dĂ©couvrant après des annĂ©es. Alors qu’elle descendait les Ă©tages, elle Ă©vita soigneusement quelques monstres rĂ´deurs qui ne montaient pas, ils semblaient attendre patiemment. Comme s’ils Ă©taient au courant. Une fois son exploration terminĂ©e, la petite souris remonta au crĂ©puscule près de l’homme. Elle s’arrĂŞta en haut de l’escalier, en voyant un monstre s’approcher silencieusement de celui-ci. La petite souris ne serait sans doute pas entendue, vu que le voyageur s’était perdu dans l’observation. La petite bĂŞte observa autour d’elle ce qu’il y avait pour tenter de l’aider. Un reste de nourriture, les armes de l’homme, une fiole en verre, son sac et son plastron. Une fiole en verre. La souris se prĂ©cipita et la fit tomber. Elle tomba d’elle-mĂŞme dans les escaliers jusqu’à se briser. L’aventurier se retourna et vit le monstre, prĂŞt Ă abattre son arme tranchante. Il recula suffisamment vite pour Ă©viter la mort et se releva, saisissant sa lame et la lançant en direction de la tĂŞte du monstre. Elle s’y logea, et la crĂ©ature se laissa tomber. Il reprit sa machette avant de se tourner vers la souris. — Quand je rentre, je t’offrirai quelque chose de si bon que tu ne voudras plus jamais manger autre chose ! dit-il en souriant. Lorsque la nuit tomba, les crĂ©atures avaient effectivement fui l’entrĂ©e du service 12. Le jeune homme s’en approcha, tout en cherchant du coin de l’œil comment l’ouvrir. Il dĂ©couvrit un grand levier sur le mur. Il se demanda alors si cela n’allait pas faire trop de bruit. Il observa autour de lui, avant de secouer la tĂŞte, comme par manque de choix. Il descendit le levier, et dans un bruit sourd, la porte se levait. Lentement. Très lentement. L’homme se mordit la lèvre, il fallait que ça lui arrive, Ă©videmment ! Il poussa un juron, avant de voir des monstres s’approcher. Il sortit son pistolet, et se mit Ă viser. Il devait tenir. Le tireur abattit monstre après monstre, alors qu’il ne faisait qu’en venir de plus en plus, comme si une horde Ă©tait attirĂ©e par ce bruit. Il jeta un bref regard Ă la porte, Ă peine levĂ©e Ă moitiĂ©. Il pouvait peut-ĂŞtre passer en dessous. Ses yeux revinrent sur le combat, juste Ă temps pour Ă©viter un coup de justesse, mais il y perdit son arme. Il frappa avec sa machette, avant de voir trop de monstres pour un seul. Il se glissa en-dessous de la porte, mais celle-ci se levait de plus en plus, et ils n’étaient pas assez stupides pour juste attendre qu’elle soit entièrement ouverte. Il y avait un panneau de commande non loin, et il s’en approcha. Il alluma le vieil ordinateur qui parvenait encore Ă s’allumer. L’écran donnait plusieurs commandes :
Diagnostic Historique Documents Ouverture Il cliqua au plus vite sur ouverture, ce qui donna : La porte est ouverte. Voulez-vous la fermer ? Il s’empressa de cliquer sur le petit « oui » qui s’était affichĂ©, avant de se reprĂ©senter devant la porte. Elle commençait Ă se fermer Ă nouveau, mais elle Ă©tait retenue par un monstre plus colossal que les autres. — Non, non, non ! cria-t-il. Les monstres se glissaient doucement sous la porte, et il dut les abattre en espĂ©rant que le plus gros s’arrĂŞte. Il jeta un instant le regard derrière le monstre, avant de voir une invasion. Impossible d’y survivre, il fallait se cacher et que la porte se ferme ! Il tenta le tout pour le tout, dans un dernier Ă©lan d’espoir. L’aventurier frappa de toutes ses forces plusieurs fois le colosse devant lui, qui poussa des semblants de cris de douleurs, jusqu’à ce que, au bout d’un ultime coup, le monstre lâche. La porte se referma violemment sur les quelques monstres au sol, les coupant en deux. Certains rampèrent sur quelques mètres avant de s’arrĂŞter de bouger. L’homme Ă©tait fatiguĂ©. Il se laissa tomber en arrière, et une fois au sol, il semblait manquer d’air. Il s’assit, enleva son plastron qu’il lança Ă cĂ´tĂ©, sous le regard de la souris qui ne comprenait rien, avant de lever son T-shirt. Son torse Ă©tait devenu d’un mauve sombre, presque noir. — Bordel… Il se leva avec toutes ses forces et se dĂ©plaça dans le service douze. Il Ă©tait visiblement abandonnĂ© depuis longtemps, au vu des squelettes qu’il trouva sur le chemin. Le voyageur s’aventura dans le service, tombant plusieurs fois contre les murs, se blessant presque parfois, jusqu’à arriver Ă une aile d’infirmerie. Le lieu dĂ©labrĂ© avait presque toutes ses armoires ouvertes, mais cela ne l’empĂŞcha pas de fouiller. Il trouva quelques produits qu’il plaça sur une table de mĂ©tal. Il posa son sac et en sortit plusieurs fioles. La petite souris l’observa en silence, elle-mĂŞme effrayĂ©e. L’homme mĂ©langea plusieurs produits aux couleurs douteuses, jusqu’à ce qu’il pousse un cri, ou un soupir vu le peu de son qui se fit entendre, de triomphe. La marque noire s’était propagĂ©e jusqu’à son cou et son bras. D’un geste lent et douloureux, il approcha la fiole de ses lèvres et but tout le contenu. Il lâcha la fiole qui se brisa au sol, avant de s’allonger, Ă©puisĂ©, au bord de l’évanouissement. La souris monta sur son torse, alors que ses yeux se fermèrent.
Lorsque l’aventurier se leva, il Ă©veilla par accident la petite souris. Elle se retira de lui et se posa sur la table. Il leva son T-shirt et observa son torse, redevenu normal. Il rit Ă pleins poumons et versa quelques larmes de joie. Il finit cependant par revenir Ă la rĂ©alitĂ©. — Maintenant, comment faire pour rentrer…
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