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Awoken![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Jour de poisse(par Awoken)Nous étions le neuvième mois de l’année de Parioga sur une île perdu au milieu de la ceinture de Zarka. Je me présente, je suis Orion, renard de compagnie de la déesse Komeïs, déesse du savoir et de l’espace. Ce jour là ma maîtresse vaquait dans ses pensés sans faire attention à ce qui l’entourait. Ce jour là fut également son jour de poisse de l’année. Première incident: on marchait tranquillement au bord de la mer en sentant le souffle chaud du vent nous caresser quand j’aperçus une faille droit devant. On n’en voyait pas le fond et Komeïs était plongée dans la contemplation des nuages. Je sautais tranquillement la faille et j’attendis la déesse de l’autre côté. Elle, elle ne baissait pas la tête et elle fut bientôt au bord de la faille. Elle tomba en poussant un cri. Un instant plus tard elle se matérialisa de mon côté et repris la route en me disant: « Cette faille fait cent pas de profondeur. Il faudra que je la rajoute sur les carte pour éviter que quelqu’un ne fasse une mauvaise chute. » Deuxième incident: on était remonté dans l’île et on traversait une forêt luxuriante. Komeïs regardait les fleurs qui poussaient sur le sol en me disant les noms de chacune d’entre elle. Je l’écoutais, même si je n’aimais pas les fleurs j’adorais entendre la voix de ma maîtresse. Au détour d’un sentier je repérais une branche sur le point de tomber. Je m’arrêtais. Komeïs, elle, elle continuais son chemin en me disant les noms des fleurs. La branche tomba. La déesse s’était arrêtée pour observer plus attentivement une rose rouge. « Les terriens lui ont donné de nombreux autres noms. Et le pire c’est que je ne sais pas pourquoi. » Troisième incident: nous étions toujours dans la forêt et elle avais repéré une ruche monumentale au sommet cèdre. Elle grimpa à l’arbre puis redescendit avec le miel. Nous nous assîmes dans l’herbe et elle me fit goûter. Ce n’était pas mauvais mais je préférais quand même la viande fraîche d’un lapin. Nous vîmes soudain un ours approcher. Il n’avait pas l’air content. Komeïs s’en approcha et lui proposa un peu de miel. L’ours se mit alors à lui grogner dessus. « Mais elle n’est pas à vous cette ruche, elle est à tout le monde et au abeille en premier lieu. Comment ça c’est votre territoire ?! Mais je me promène seulement, je ne vois pas en quoi j’ai pu vous offenser. J’ai le droit de me promener où bon me semble espèce d’ours mal léché. Mais… Je ne vous permet pas ! Ah non, ça c’est trop. » Elle lui donna une claque sur la truffe. L’ours devint alors plus agressif et donna plusieurs coup de pattes que Komeïs évita avant de me rejoindre. Elle me prit dans ses bras et courut aussi loin qu’elle le pouvait de l’ours. Quatrième incident: Komeïs reprenait son souffle au pied d’un sapin et ne voulait pas me lâcher. Quand elle eut récupérer je m’échappais de son étreinte et je commençais à explorer un peu les alentours quand, un déclic retentit. J’avais déclenché un mécanisme. Durant quelques secondes rien ne se passa. Soudain un énorme tronc d’arbre fonça vers moi. Je m’aplatis sur le sol et le tronc ne fit que me frôler. Cependant il continuait sa course en direction de ma maîtresse qui avait fermé les yeux. Je jappais. Sans même ouvrir les yeux elle esquiva le piège avant de reprendre sa position initiale quand le danger fut passé. « Il faudra que je demande à Guillaume d’enlever ses pièges. L’île devient dangereuse à cause de lui. » Cinquième incident: Nous avions repris notre promenade. Je me sentais devenir paranoïaque à regarder de tous les côté. Komeïs, elle, était détendue et sifflotait tranquillement. Plusieurs minutes passèrent, je commençais à me détendre un peu quand une longue tentacule nous happa la déesse et moi et nous emmena vers le sommet des feuillages. J’avais la peur de ma vie. Nous arrivâmes enfin à la tête de la créature. C’était une immense pieuvre sylvaine blanche. Elle nous regarda, nous sonda puis nous approcha de son horrible bec. Je crus que ma dernière heure avait sonnée. Komeïs m’attrapa par la patte et nous téléporta loin de là . Je mis plusieurs minutes à me remettre. « Je crois que nous ferions mieux de rentrer tu ne crois pas ? » Je fis un oui énergique de la tête.
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