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AwokenSourne![]() Spectacles![]() Academy Universe - nouveau lore
![]() ![]() Le voleur envolé(par Awoken et Sourne)(Joséphine écrit dans son carnet un texte sur Awoken. Elle regarde dehors et se rend compte qu’elle est à l’Académie. À peine s’en est-elle rendue compte qu’elle se transforme en fille-renarde avec : des oreilles, une queue, un museau et des pattes arrières de renard.) (Un singe ailé est également apparu en face de la jeune fille. Avant même qu’elle ait eu le temps de se saisir de sa gomme que le singe s’empare du carnet et s’envole par la fenêtre. Joséphine glapit en se maudissant d’être aussi tête en l’air. Elle se précipite en trébuchant, n’étant pas habituée à avoir des pattes, en dehors du bâtiment.) JOSÉPHINE, en glapissant Merde ! Je suis mal là ! (La jeune femme a juré sans avoir remarqué la présence de Sourne, l’air songeur et renfrogné.) SOURNE, pensif Je me demande bien ce qui a bien pu dérober ma pièce d’or, alors qu’elle était bien au creux de ma main… (Alors qu’il balance sa tête, comme pour chercher son voleur, le dragon s’avise de Joséphine.) SOURNE, indifférent Tiens, salut humaine, tu as… changé ? dit-il ensuite, surpris par la métamorphose de Joséphine. JOSÉPHINE, stressée Ah ! Sourne ! Tu tombes bien, t’aurais pas vu un singe avec des ailes ? SOURNE, arquant un sourcil d’écaille d’incompréhension Un singe volant ? Quelle est cette étrangeté ? Et puis, que t’est-il arrivé ? JOSÉPHINE, au bord de la panique Il m’a chipé mon carnet ! Faut que je le retrouve ! J’avais pas remarqué que j’étais à l’Académie et j’ai écrit une phrase avec Awoken et un singe ailé… Faut que je l’efface si je veux redevenir normale. SOURNE, dubitatif Les histoires d’univers parallèles resteront à jamais hors de ma compréhension. (Le dragon soupire) Enfin, je suppose que ta bestiole est du genre vive… Et vu qu’elle t’a chipé ton précieux carnet, elle aurait aussi pu voler ma précieuse pièce ! JOSÉPHINE, réfléchissant Possible, je l’ai écrite comme étant chapardeuse… - avec espoir - Tu veux bien m’aider du coup ? SOURNE, irrité D’abord une fée, puis un étrange singe ailé… décidément, pourquoi je me fais toujours charpa… chrapar… je déteste prononcer le mot chaparder ! (le dragon grogne un court instant) - Mais soit, je vais t’aider. Vu que ton monstre vole, je suppose que ce serait plus rapide que je fasse de même et que tu montes sur mon dos humaine… ou demi-humaine… (Sourne est confus) JOSÉPHINE, voyant la confusion du dragon Appelles-moi Jo au lieu de humaine, je préfèrerais. SOURNE, maugréant Je sais comment tu t’appelles humai… Hum Joséphine. JOSÉPHINE Alors appelles-moi comme ça. Du coup… Revenons à nos moutons! (se passe la langue sur les babines par réflexe.) SOURNE Le gigot de mouton attendra (ironise le dragon) Mais plus nous palabrons, plus ta bestiole nous distance… (Sourne s’abaisse) Alors, tu grimpes ? JOSÉPHINE, hésitante Je… Je peux ? Tu es sûr ? SOURNE, soupirant Tiens-tu à récupérer ton carnet ou pas ? (Joséphine se hisse maladroitement sur le dos du dragon et s’installe du mieux qu’elle peut.) JOSÉPHINE Bien sûr, mais… C’est juste que je ne m’attendais pas vraiment à une telle proposition… Bon ! On y va ? SOURNE, déterminé Oui, assez parlé de vétilles ! (Sans même prévenir Joséphine, le dragon déploie ses ailes et prend son envol.) JOSÉPHINE, euphorique Waaaaaaaah ! C’est trop génial ! SOURNE, amusé Être dans les airs est l’une des meilleures sensations que l’on puisse ressentir. JOSÉPHINE C’est sûr que c’est autre chose qu’avec un avion ! (se souvenant que Sourne ne connaît sans doute pas la Terre) c’est une énorme machine qui parvient à décoler grâce à sa vitesse élevée mais qui est incapable de battre des ailes. SOURNE, aigri Je vois bien ce que ces bêtes de métal sont… (encore plus renfrogné) Mais le bruit de leurs moteurs m’insupporte et je me tenais éloigné des régions “ modernes “... pfff, comme si la technologie et la science pouvaient rivaliser avec la magie et la noblesse des contrés d’où je viens. JOSÉPHINE, un rien honteuse et glapissant à nouveau J’ignorais que tu connaissais, désolée… (se reprenant) Personnellement je déteste avoir à voyager avec, être coincé des heures dans ces tubes de métal à des milliers de kilomètres du sol c’est horrible. je n’ai pas peur, hein ! J’aime juste pas ça. (Comme s’il avait oublié que Joséphine était sur lui, le dragon hausse les épaules, manquant de faire tomber sa cavalière improvisée.) JOSÉPHINE, s'accroche comme elle le peut à sa monture Sourne ! (remarquant soudain un point au loin) Là , c’est sûrement lui ! SOURNE, furibond Ce sale voleur de pièce fétiche est enfin en vue ! Il va regretter de s’en être pris à moi ! (le dragon prépare son souffle ardent, puis se ravise) Je suppose que si ton carnet n’est plus qu’un tas de cendres fumantes, ça ne va pas arranger tes affaires… JOSÉPHINE Non, effectivement, si tu pouvais éviter je te serais reconnaissante… Enfin, plus que je ne le suis maintenant… SOURNE La reconnaissance d’une hum… hum.. ta reconnaissance m’importe peu Joséphine… (le dragon est hésitant) Je ne souhaite pas avoir de débiteur. JOSÉPHINE, toujours aussi franche Cette remarque est blessante Sourne. T’être reconnaissante veux juste dire que je sais que je peux compter sur toi ! Enfin… C’est ma vision de la chose. SOURNE, désolé Je ne souhaitais pas t’offenser, Joséphine. Je voulais dire que j’agissais par désir de t’aider… et de reprendre possession de ma piécette aussi… Pour m’excuser, je ne remuerais pas dans tous les sens ton singe ailé quand je l’aurais saisi dans ma gueule ! JOSÉPHINE Non, non, tu peux faire ce que tu veux de lui tant que je récupère mon carnet puisqu’il disparaîtra complètement de tous les mondes existants dès que j’aurais effacé ma phrase. SOURNE, plaisantant Mais si j’incinère ton carnet, ta phrase sera de ce fait effacée… Et donc le singe disparaîtra et je pourrais reprendre ma pièce ! JOSÉPHINE Sauf que j’y tiens à mon carnet, donc j’aimerais tout de même le récupérer. Et puis… À vrai dire, je ne sais pas vraiment ce qu’il se passerait si le carnet était réduit en cendres. SOURNE, hilare Ne désires-tu pas faire l’expérience ? Enfin, l’amour d’une humaine pour son carnet est comparable à celui d’un dragon pour son or… si ce n’est pas une histoire digne des plus grandes épopées… (Commence à rire aux éclats, indiquant ainsi leurs présence au singe ailé qui piqua vers le sol.) SOURNE, s’assombrissant Il se précipite au sol ! Tu as une idée pour le neutraliser, sans détruire l’un de nos trésors ? (Joséphine fouille dans sa sacoche et en ressort une bourse pleine de pièces d’argent. Elle la fait tinter, attirant ainsi la cupide créature.) JOSÉPHINE Elle arrive, va falloir que tu sois super rapide sur ce coup là . SOURNE, confiant Je peux détourner des flèches qui sont projetées contre moi à toute vitesse, alors un misérable singe… (Alors que la créature issue de l’imaginaire de Joséphine s’approche dangereusement de Sourne, ce dernier la saisit vivement de ses puissants bras.) SOURNE, enthousiaste Attrapée ! JOSÉPHINE Hourra ! SOURNE Vas-tu parvenir à reprendre ton carnet ? Le singe est agité et il se débat ! JOSÉPHINE Bien sûr ! (Joséphine se penche vers le singe et lui grogne dessus en montrant les dents.) JOSÉPHINE, au singe Tu me rends mon carnet ou je te mord. (le singe le lui tend, elle reprend place et explique à Sourne en souriant) Je l’ai écrit comme ayant peur des renards. (La jeune fille efface la-dite phrase et reprend son apparence tandis que le singe disparaît des pattes de Sourne.) SOURNE Une belle victoire pour nous deux ! (le dragon arque son cou en direction de Joséphine) Dis-moi… as-tu aussi repris ma précieuse pièce ? (demande le dragon en voyant un éclat doré tomber vers le sol) JOSÉPHINE Oups… (Tenaillé par le désir de plonger mais ne se rappelant de la présence de la jeune fille sur ses épaules, le dragon balbutie un moment.) JOSÉPHINE, en s’accrochant solidement au cou de Sourne Plonge ! SOURNE, se ravisant Tu ne sais pas à quelle vitesse je peux plonger… et puis, je ne vois plus ma pièce à présent, elle a dû se tapir dans un buisson… Bon, ce n’est pas si grave je suppose… je la retrouverai un autre jour… Ce fut une journée bien remplie, je te ramène à l’Académie ? JOSÉPHINE, avec conviction Non, descends, on va la retrouver ta pièce, tu m’a aidé à récupérer mon carnet et moi j’ai pas récupéré ta pièce, il est logique que je t’aide à la retrouver ! SOURNE, tranchant Ce ne serait pas nécessaire, ça nous ferait perdre un précieux temps, alors que le prochain cours de Lu’ est pour bientôt. Plutôt, pourrais-tu recréer ma pièce avec ton carnet ? (Un peu à contrecœur, Joséphine prend son carnet et note que la pièce revient d'elle-même dans la poche de Sourne.) JOSÉPHINE Voilà ! On peut y aller ! SOURNE, se marmonnant à lui-même Je pensais plutôt à une duplication de ma pièce… comme ça, j’en aurais eu une en poche et il me suffisait de chercher l’originale… Merci beaucoup Joséphine ! (finit-il par dire, sincèrement) JOSÉPHINE, lui lançant un regard noir Si tu n’es pas content je peux très bien effacer, ça me rallonge mes racines d’écrire ici. (changeant de sujet) Bon, on y va ? Sinon on va se faire enguirlander par Lu’ ! SOURNE, déglutissant C’est vrai que ça aurait fait perdre en valeur ma précieuse pièce héhé… Mais oui, allons-y. Cap vers l’Académie ! (Joséphine et Sourne retournent à l’Académie, un endroit qui était plus précieux à leurs yeux que leurs possessions.) Cette histoire fait partie d'un tout plus grand !
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