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Awoken![]() Spectacles![]() ![]() ![]() Le wagon mortel(par Awoken)« Bienvenue chers meurtriers Ă cette assemblĂ©e que nous appellerons : Le Jugement Dernier. Je vous explique le principe, je dirais vos initiales et celles d’un autre de vos collègues et celui ci devras vous tuer avec la manière dont vous vous servez pour occire vos victimes, d’accord ?! Mais avant tout, permettez moi de me prĂ©senter, je suis P.V., je serais votre juge ce soir. Maintenant je vais vous prĂ©senter les uns aux autres. Ă€ ma droite, K.O., aussi connu sous le doux sobriquet de « l’ange Ă©ternel ». Ensuite nous avons dans l’ordre : J.P., « le bourreau de Paris ». J.R., « cyanure » P.B., « le boucher des Antilles ». F.G., « l’esprit frappeur ». L.X., « l’étrangleur du cosmos ». R.I., « chupacabra ». O.G., « le diable des cheminĂ©es ». Et K.P., « la selkie ». Bien ! Maintenant que les prĂ©sentations sont faites nous pouvons commencer. Ah ! Une dernière chose, nous somme le 15 dĂ©cembre et il est vingt-trois heure trente. Nous sommes enfermĂ©s tous ensemble dans un wagon sur une voie ferrĂ©e au milieu de nulle part alors ne pensez mĂŞme pas Ă fuir. Compris ?! Alors place au spectacle. Je vais tirer au sort les deux premiers participant et je vous donnerais les consignes. Oh, et, j’épargnerais peut ĂŞtre le dernier d’entre vous qui sera encore vivant. Voyons qui serons les deux premiers. Madame R.I. et monsieur F.G., ça va ĂŞtre Ă vous, attendez que je vous dĂ©tache. Pas de faux mouvement, vous le regretteriez. Monsieur F.G. je vous pris de bien vouloir prendre ce couteau. Merci. Madame R.I., je vous accuse d’avoir commis onze meurtres. Je vous accuse d’avoir volĂ© la vie de vos victime en l’égorgeant et en vous dĂ©lectant de leurs sang. Et aujourd’hui, vous allez subir le mĂŞme sort. Monsieur F.G., faites votre office. — Je… Je dois faire quoi ? — D’après vous… Ă©gorgez la. » F.G. s’exĂ©cuta après quelques hĂ©sitations et trancha la carotide du chupacabra qui s’effondra avec un râle dans une flaque de sang. « Maintenant bois son sang. » L’esprit frappeur Ă©carquilla les yeux en direction de la juge et vis la mort dans son regard. De peur de mourir Ă son tour il bu le sang et grimaça au contact du liquide encore chaud. Une fois cela fait, P.V. lui ordonna de retourner sur sa chaise. Pendant que l’homme s’asseyait, l’étrange femme pris les photos des onze victimes et les plaça en cercle autour de leur meurtrière. Elle piocha Ă nouveau deux noms. « Monsieur L.X. et monsieur O.G., c’est votre tour. L’étrangleur du cosmos, comme vous aimez ĂŞtre appelĂ©, vous ĂŞtes Ă l’origine de pas moins de vingt-trois meurtres par strangulation. Le diable des cheminĂ©es ici prĂ©sent vous fera subir ce que vous avez fait Ă ces pauvres innocents. Allez y O.G. ! » L’homme en question s’exĂ©cuta sans sourcillĂ© et en arborant un sourire dĂ©rangeant. Avec ce mĂŞme sourire il enserra le cou de L.X. qui se dĂ©battit sans parvenir Ă se libĂ©rer jusqu’à ce qu’il rende son dernier souffle et tombe sur le sol, les yeux rĂ©vulsĂ©s. La juge rĂ©itĂ©ra sa petite cĂ©rĂ©monie et entoura le corps des photos de ses victimes. Elle piocha de nouveaux noms. « Monsieur J.P. recevra sa sentence des mains de madame K.P.. J.P. aussi connu sous le nom du bourreau de Paris pour la pendaison de soixante-quatre innocents. » Madame la selkie, faites votre office. Celle ci s’exĂ©cuta. Elle confectionna avec beaucoup de peine un nĹ“ud coulant, le passa autour du cou du condamnĂ©, le fit monter sur un tabouret, fixa la corde au plafond du wagon et Ă´ta le tabouret. Tout cela sans montrer aucune Ă©motion. Encore une fois P.V. Ă©tala en cercle les photos des victime de feu le bourreau de Paris et piocha deux noms. « Monsieur J.R. s’occupera de monsieur O.G., le diable des cheminĂ©es, auteur de trente et un homicides. DĂ©solĂ© très cher condamnĂ© mais je n’ai pas pu avoir de cheminĂ©e, par contre j’ai un poĂŞle. De toute façon comme vous ne plongiez que la tĂŞte de vos victimes dans le four, ça ne devrais pas ĂŞtre un problème. Bourreau, fais ton office ! » Cyanure hĂ©sita longtemps, jusqu’à ce que la juge lui aboie de le faire. Alors il se mit Ă l’œuvre. O.G. se dĂ©battit Ă©normĂ©ment mais son collègue rĂ©ussi Ă lui mettre la tĂŞte dans le poĂŞle. Il pleura en entendant les cris de douleur de sa victime mais continua tout de mĂŞme de peur de mourir Ă son tour. « Parfait ! » P.V. rĂ©itĂ©ra sont petit rituelle et piocha. « F.G. encore, vous vous occuperez du châtiment de madame P.B. surnommĂ© le boucher on devrait plutĂ´t dire la bouchère des Antilles pour avoir dĂ©membrĂ© près de quarante personnes. Monsieur l’esprit, allez y ! » Elle lui tendis une hache et lui dĂ©signa le suppliciĂ©. Comme elle le vit hĂ©siter elle lui glissa un « C’est toi ou elle. » Il n’hĂ©sita plus. Il frappa de toutes ses forces. Le bras gauche vola. F.G. vomi. Il frappa une seconde fois. La jambe droite se dĂ©tacha. La bouchère criait. Le bras droit s’en alla. Il vomi Ă nouveau. Les cris avaient cessĂ©. La jambe gauche tomba. Il n’avait plus rien dans le ventre. La tĂŞte partie. L’homme se rassit, blanc comme un linge. La juge Ă©tala les photos et piocha les noms. « Madame K.P., pourriez vous vous occuper de monsieur F.G. ?! Ça n’est pas une question. Monsieur F.G. connu sous le sobriquet de l’esprit frappeur pour avoir aplatit vingt personnes prĂ©cisĂ©ment. » La selfie attacha l’esprit frappeur sur une chaise dĂ©signĂ©e par la femme et se dirigea d’un pas sĂ»r vers elle levier qu’elle actionna sans broncher. Une trappe s’ouvrit au dessus du condamnĂ©, laissant tomber une enclume qui vint s’écraser sur sa tĂŞte, la rĂ©duisant en une bouillie d’os et de cervelle. « Magnifique ! » P.V. Ă©tala les clichĂ©s et piocha. « Monsieur J.R. s’il vous plaĂ®t, occupez vous de la selkie. Madame vous ĂŞtes connue pour avoir noyĂ© trente-trois innocents. Vous subirez donc le mĂŞme sort. Faites vite. » Cyanure attrapa sa collègue par les cheveux sans hĂ©siter, se rappelant des regards et des cris de la juge qui lui faisait de plus en plus peur. Il emmena sa victime Ă un bassin d’eau situĂ© Ă part dans le wagon. Il eu du mal Ă la maintenir sous l’eau, il pleura, mais il ne lâcha pas. La selkie cessa de se dĂ©battre. J.R. lâcha prise. Elle ressortit la tĂŞte de l’eau et repris son souffle. Mais sont bourreau lui remit rapidement la tĂŞte dans l’eau. Cette fois il la lui maintint durant plus de cinq minutes. Il n’y avait plus de doutes Ă avoir. La femme Ă©tala les trente trois photos autour du corps et piocha les deux noms. « K.O., veuillez donner ce verre Ă J.R. aussi appelĂ© Cyanure pour les cent-six empoisonnements qui a commis. » L’ange prit le verre et le tendit au condamnĂ© qui refusa. P.V. tendit son pistolet au bourreau de l’empoisonneur qui obligea celui ci Ă boire le contenu du verre. Il le fit, prĂ©fĂ©rant une mort rapide Ă une mort lente. Il avala le poison, convulsa, s’effondra et rendit son dernier souffle. « Ça fait bizarre de voir le visage de sa victime hein ?! » L’ange Ă©ternelle dirigea le pistolet vers la juge. « Si je vous tue, ce cauchemars prendra fin. — ĂŠtes vous sure que c’est en me tuant que tout cela finira ? C’est votre cauchemars, pas le mien. Me tuer ne changera rien, vous avez vu le visage de votre dernière victime. — Ce n’est pas moi qui l’ai tuĂ©, il a bu le poison de lui mĂŞme. — Vous ne lui avez pas vraiment laissĂ© le choix. Et je rajouterais que vous auriez très bien pu me tuer moi qui vous ai forcĂ© Ă vous entre tuer, vous aviez mon arme. — Je… Non, c’est vous, c’est Ă cause de vous. — En ĂŞtes vous rĂ©ellement sure ? C’est vous qui avez tuĂ© cent-trente-cinq personnes. Je n’ai tuĂ© personne MOI. » K.O. eu l’air de plus en plus confuse. Elle regardait le pistolet qu’elle tenait toujours. Elle le fixait sans le voir. L’arme monta jusqu’à la tempe. La dĂ©tente s’actionna et le coup de feu partit. L’éternelle tomba sur le sol, sans vie, un trou dans la tĂŞte. La juge, de son vĂ©ritable nom Pauline Vihre, Ă©tala les photos autours des deux derniers corps. S’adossa au mur du wagon d’oĂą provenait le bruit d’un train en marche et s’alluma une cigarette. Elle souffla un rond de fumĂ©e. Un train traversa le wagon, fauchant celle qui voulait ĂŞtre une justicière.
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