L'Académie de Lu





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Défi de Sourne et Awoken (rentrée des classes)

Le Marchand de RĂŞves

Academy Universe - nouveau lore


Cœur Rose et Sang d'or

(par Malkym)
(Thème : DĂ©fi de Sourne et Awoken)



Les feuilles de toutes sortes d’arbres défilaient à travers la fenêtre de la carriole. Depuis que l’on était entré dans cette forêt, je ne cessais de m’émerveiller. Mes yeux rouges pétillants n’arrêtaient pas de se mouvoir en tout sens pour observer chaque éléments constituant ces bois immenses. Passant ma tête à travers la portière, mes cheveux bruns virevoltaient dans le mouvement de notre voiture tandis que, de mon index, je venais pointer tous les arbres me semblant étrangers et d’un autre monde, toutes les petites créatures passant devant mes yeux subjugués, tous les jolis champignons colorés, parfois lumineux, recouvrant la mousse et les rochers de ce milieu boisé. Et à chacun d’entre eux, je venais titiller la tête du blondinet cornu me servant de compagnon, à mes côtés dans cette carriole depuis… une bonne dizaine d’heures maintenant.


Ses lunettes dorées laissaient entrevoir des yeux bleu azur, d’un air calme et confiant. Mais je ne pouvais m’empêcher de penser que mon sempiternel émerveillement devait finir par paraître… au mieux lourd, au pire absolument insupportable ! Mais qu’y pouvais-je vraiment ? C’est lui qui m’avait créé si curieuse et émerveillée par les plus infimes détails ! Comment pouvait-il garder un calme pareil ? Nous étions sur le point de rencontrer la plus fine fleur des écrivains aventuriers du monde, et lui restait impassible, un simple sourire au visage, la veste ouverte, la cravate desserrée…


Nos tenues étaient vraiment très différentes. Il fallait bien avouer qu’à côté de son costume blanc, sa cravate orange et sa chemise anthracite, surplombée d’un gilet noir et blanc, je faisais un peu moins… sérieuse. Un corset noir serrant un chemisier laissant mes épaules à découvert, le tout simplement recouvert d’un chaperon oscillant par la lumière entre les pourpres et les bordeaux. Si l’on ajoutait à cela mon pantalon rouge et mes hautes bottes noires, dont les lacets m’énervaient tant que je me contentais de les faire passer aléatoirement dans les trous pour serrer le tout comme je le pouvais, je devais bien plus ressembler à une pirate trop loin de son navire qu’à une adolescente banale. Mais j’aimais bien, ça me donnait ce côté cool, de ces personnages de jeux vidéo que j’aime bien. J’avais l’impression d’être une espèce d’aventurière, devant ma glace. Je crois d’ailleurs que ça amusait beaucoup mon compagnon de route de me voir brandir mon peigne comme un poignard, tous les matins. Depuis que l’on était descendu des montagnes entourant la forêt, il n’avait plus adressé un mot. Mais enfin, me sentant sûrement impatiente, Malkym m’informa :


« Cette vallée est immense, Shelly. Et la forêt l’est tout autant ! Il nous reste encore un bon bout de chemin à faire. Tu devrais en profiter pour te reposer avant que l’on n’arrive enfin.

— Me reposer ? Mais je suis bien trop stressée pour fermer l’œil ! Franchement, comment tu peux être aussi calme le jour de ta rentrée ?


— Aucune idée ! Je crois que j’ai toujours aimé les nouveaux départs. Ce n’est pas le genre de choses qui m’effraie ou qui m’angoisse.


— D’accord… et quand tu stresses, qu’est-ce que tu fais ? Interrogeai-je, curieuse de sa méthode.


— Oula… C’est que ça ne m’arrive pas très souvent.


— Arrête, t’as forcément peur de quelque chose !


— Hum… moins maintenant. Mais avant, je me posais et essayer de me concentrer sur ma respiration en pensant aux souvenirs les plus agréables qui pouvaient me venir. Essaie ça ! En plus, ce sera parfait pour la contrainte du flash-back.


— Je vais tenter, alors… De quelle contrainte tu parles ?


— Hum… Oublie ce que je viens de dire, veux-tu ? »


Le cristal orangé, autour de mon cou, serré dans ma main, sans chercher plus d’explications, je me réinstallai plus confortablement sur les coussins pourpres des sièges de la carriole, et tentai d’imaginer le meilleur moment de toute ma vie. Quel pouvait-il bien être ?


Un liquide froid recouvrant sa main, il était venu caresser ma joue. Mes yeux pourpres étaient clos, mes lèvres semblant cousues. Je ne sentais que la chaleur de sa peau venir caresser mon visage. C’était la toute première sensation que je n’ai jamais ressentie. Je lui importais. Il ne me semblait jamais rien avoir ressenti auparavant. Une euphorie, excitation immobile, me grimpait au corps, tirant mon tout premier sourire. Je ne l’ai que bien rarement quittée depuis. Mon regard se perdant toujours derrière mes paupières, une immense lumière vint traverser ces dernières. Je me souviens alors d’une voix sympathique, légèrement rauque, dissimulant une pointe de malice et d’envie, demandant simplement…


« As-tu bien désormais tout ce que tu souhaites ? »


Sa main glissa lentement sur ma peau, laissant cette question planer quelques instants. J’entendis un sanglot difficilement contenu parcourir son être. Il vint délicatement apposer sa paume sur mon cou, glissant ses doigts sur les maillons qui ne me quittèrent plus jamais. Puis, serrant la pierre qui y était attachée, nous entendîmes tous deux cette voix reprendre.


« Es-tu prêt à payer ce prix, jeune homme ? »


Mon pendentif sembla soudain émettre une lumière orangée. Le son d’une larme tombant sur le sol, du plancher je crois, se fit finalement entendre. Et tandis que mes lèvres s’ouvrirent pour s’étonner de ce son, il lâcha mon collier, ravala une larme et répondit enfin d’une traite.


« Je suis prêt. »


Mes yeux éteints furent soudainement inondés d’une intense lumière, révélant par un contre-jour sa silhouette floue. La voix interrogative se mit à émettre un sinistre petit ricanement, qui ne fit qu’aller crescendo. Bientôt, ses petits rires s’intensifièrent pour se métamorphoser en un véritable fou-rire dément. La silhouette noire se meut alors, ne laissant apparaître que les contours d’un corps se tenant désespérément la tête, dont de puissants gémissements se mirent bientôt à jaillir. Il s’écroula, genoux au sol, et sembla crier à la mort, frappant son front de coups de poings comme pour forcer la douleur à s’échapper de son crâne. Les rires démentiels se couvrirent alors d’atroces hurlements tandis que, lâchant enfin sa tête, il vint basculer celle-ci en arrière d’un coup sec. Deux monticules se formèrent au-dessus de son front, perçant sa tête avec plus de hurlements rageurs. S’enroulant autour, ces deux serpents pointus vinrent créer des véritables cornes à la silhouette. La lumière était si intense que le contre-jour était presque d’une netteté totale. Mes yeux toujours clos – Je serai aujourd’hui sans doute aveugle s’ils avaient été ouverts – de profonds hurlements d’une souffrance infinie, mêlés d’un incontrôlable rire diabolique, résonnèrent à mes oreilles.


La silhouette agonisante, la saturation, le puissant acouphène, les yeux infernaux verrouillés, puis plus rien. La lumière, si intense, s’éteint alors. Sentant une main de nouveau à ma joue, je pus enfin ouvrir les yeux. Il me regardait, le visage éreinté, souffrant, crispé, sanglotant… mais un sourire aux lèvres. De son front, de ses cornes, coulait ce qui semblait être de l’or. Son visage était traversé de filets dorés et liquides qui venaient couler sur ses joues et ses vêtements. La douleur restait sans doute insupportable, mais les larmes qui se mêlaient à l’or semblaient provenir tout autant de sa souffrance que de la joie qu’il arborait. Je ne comprenais pas. Qu’est-ce qui pouvait alors donner un tel sourire à ce garçon blondinet, presque mourant, peinant douloureusement à tenir sur ses jambes pour venir poser sa main à ma joue ?


Des grains de poussière dorée planaient à travers la pièce, comme si un puissant courant d’air les avait balayés. Il en tombait quelques-uns sur nos cheveux et son sweat. En regardant autour de moi, je m’aperçus de mon manque de vêtements. Je ne me souviens plus d’en avoir été gênée. Ses lèvres balbutiaient pour tenter de me dire quelque chose. Ravalant sa salive, il prononça quelques mots que jamais je n’oublierai.


« Je suis Malkym, tu es Shelly. Jamais plus je ne serai seul. Jamais tu ne le seras. »

Des lunettes brisées dans une main, il me prit par la main et nous quittâmes la pièce à la hâte, comme pour fuir la scène. Je ne la revis jamais et vécus aux côtés de Malkym depuis ce jour.


Notre carriole comme mon songe s’arrêtèrent brutalement, me propulsant sur la banquette qui me faisait face, bousculant mon acolyte cornu qui se rétama au sol en un élégant juron. Je ne crains, dans ma maladresse, d’avoir légèrement ouvert sa lèvre, dont un filet d’or sembla couler un instant avant qu’une main ne vienne y glisser pour le faire disparaître. Je me relevai en catastrophe pour l’aider à se relever. Une lueur orange vint éclairer son visage d’ange, se reflétant sur la pâleur des cornes de démon affublant le sommet de son crâne.

« Désolée, désolée, désolééée ! Répétai-je mille et une fois.


— Non, non… C’est ma faute, j’aurai sans doute dĂ» te prĂ©venir de cette arrivĂ©e plutĂ´t… brutale, se justifia-t-il rieur en jetant un Ĺ“il Ă  ses doigts tâchĂ©s.


— Ouh… Rien de grave ?


— Ne t’inquiète pas, vraiment ! C’est juste un peu de… de…


— Tu as dit qu’on Ă©tait arrivé ?! M’exclamai-je en ouvrant la portière avec impatience.


— Absolument ! Alors, Shelly, bienvenue à… »


Ses chaussures soulevèrent quelques gravats tandis que mon acolyte descendit de notre voiture en vitesse. Il sembla tout aussi déçu que moi en ouvrant finalement les yeux. Le gigantesque bâtiment qui s’élevait devant nous était d’un gris terne et morose, à la toiture plate et au manque complet de toute décoration. C’était absolument laid. Je ne pus m’empêcher de tirer une longue grimace en me saisissant de mes valises. Était-ce réellement dans ce… truc ennuyeux et géométrique que nous allions devoir vivre désormais ?


« … la Grande… Académie de… Lu’, conclut-il sa phrase en redescendant lentement la main qu’il avait triomphalement levée pour m’indiquer le lieu.


— Ça a l’air nul.


— Mais non ! S’exclama-t-il en empoignant ses propres affaires. Je suis quasiment certain que t’y plairas ! Avec de la chance, tu pourras mĂŞme t’y trouver des amis, avec qui partager ton pouvoir !

— J’ai pas envie de le partager, grommelai-je en jetant un regard Ă  l’une de mes valises, largement plus lourde que les autres.


— Quoi ? Tu n’étais pas enthousiaste, il y a encore quelques instants ? Me questionna-t-il, le sourcil froncĂ© et menant le pas vers ce qui semblait ĂŞtre les grandes portes.


— Si, si… et puis j’ai vu ta fameuse AcadĂ©mie. »


Les yeux fixés sur le sommet d’une tour, plus haute, mais tout aussi grise que le reste du décevant édifice, j’emboîtais finalement le pas à Malkym. Nous marchâmes quelques instants dans un silence de mort, ironiquement souligné d’un vent à faire pâlir une morte et auquel seuls les bruissements de pas sur le gravier venaient pitoyablement d’ajouter. J’avais beau vouloir m’attarder sur la beauté des choses… je devais avouer ne pas en trouver la moindre.


Les grilles du grand muret d’enceinte passées, pourtant, un univers tout autre sembla se bâtir brique après brique devant mon visage ennuyé, s’éclairant pourtant peu à peu d’une indescriptible et somptueuse surprise. Les murs de béton plat s’étayèrent bientôt de ce qui sembla être d’énormes pièces de puzzle de mousse colorée, se liant entre elles pour bientôt recouvrir chacune des faces des pavés droits, qui se dressaient là auparavant. Autour des fenêtres teintes, tantôt de bleu, tantôt de rose, ou d’orange, ce qui semblait être des Lego vinrent s’amonceler pour former de chouettes maisonnettes. Là, une d’Halloween, ici, de Noël, une semblait reprendre le design extérieur de la maison des Simpson, tandis que celle-ci se retrouva semblable à l’architecture de Poudlard. Au-dessus d’elles, la toiture plate se tordit pour arborer l’apparence des toits de maisons de poupées ou de châteaux colorés. La morne tour de briques grises se lissa pour donner une impression de plastique, tandis que des banderoles et guirlandes, tantôt lumineuses, tantôt pailletées, s’enroulèrent autour de la lance de pierre, qui fut finalement semblable à la plus haute tour d’une princesse.


« Voilà qui est somme toute bien mieux, pas vrai ? Interrompit-il mon admiration, en portant une main à mon menton pour clore ma bouche bée.


— C’est… merveilleux ! Ne pus-je m’empĂŞcher de m’exclamer, des Ă©toiles dans les yeux.


— Que vois-tu ?


— L’endroit rĂŞvĂ©, je crois… C’est tellement… impressionnant ! Tellement…


— Magique ? Oui, ça ne fait aucun doute.


— Qu’est-ce que tu vois, toi ? Lui demandai-je curieuse.


— Notre nouveau chez-nous, pour quelque temps.


— D’accord, mais… plus concrètement ? Tu vois un manoir gĂ©ant entièrement fait de centaines de jouets, toi-aussi ?


— Mmmh… Non. Pas vraiment, non. Mais c’est sans doute tout aussi plaisant que tu ne l’imagines.


— Allez, dis-moi ! Insistai-je en m’enracinant au gravier pour ne plus en bouger avant l’obtention d’une rĂ©ponse.


— Un lieu rĂ©confortant, ferma-t-il les yeux en arborant un sourire emprunt de nostalgie. »


Les portes taillées en biscuits dorées restèrent closes, seulement quelques pas devant nous. J’avoue m’être interrogée sur la raison de notre attente. Malkym perdait son regard au-dessus des portes, à travers la fenêtre teinté d’oranger. Son visage jovial traduisait sans peine les sentiments qui le traversaient à cet instant précis. La mélancolie dans son sourire. La nostalgie dans ses paupières. Le rêve et la malice au fond de l’azur de ses yeux. Il semblait si calme… si paisible.


Mon capuchon tremblait continuellement. Je nous imaginais déjà passer les portes de ce paradis de couleurs, sans doute déjà empli de tant de gens, sans doute des génies dont les plumes et les esprits dépassaient déjà tant le mien. Et nous allions pourtant nous y adresser dans une moindre poignée de minutes. J’étais si excitée de rencontrer de nouvelles personnes. J’étais si impatiente de pouvoir enfin côtoyer d’autres… amis. Je n’ai jamais vécu qu’avec Malkym. Sa présence était tout ce que je connaissais, tout ce dont je n’avais jamais eu l’expérience au cours de ma vie, tout ce dont j’ai toujours eu besoin. Nous ne restions jamais longtemps au même endroit. À chacun de ses contrats, nous étions tout bonnement contraints de fuir. C’était un fardeau que nous nous devions de porter. Ensembles, seuls.


La porte était à un mètre, peut-être deux. Rien de plus. J’entendis son pas sur les pavés rose bonbon, avançant sans attendre plus longtemps vers notre nouvelle vie. Il apposa sa main gauche sur la poignée de sucre d’orge et je sentis immédiatement ma poitrine se tuer, mon cœur imploser à cette idée nouvelle de la vie, à laquelle j’étais de nouveau contrainte. Je ne voulais pas que notre vie ne change ! Je ne voulais pas le suivre à l’intérieur de ce paradis de plastique ! Je ne voulais rien. Rien de plus que lui, rien de plus que mon ange cornu.


Ma capuche dut exploser de doutes. Qu’allait-il se passer à l’intérieur ? Allaient-ils me demander mon nom ? Devrais-je leur dire la vérité ? M’interrogeraient-ils sur notre relation ? Que pourrais-je bien leur répondre à cet instant ? Comprendraient-ils les pouvoirs émanant de moi, de Malkym ? Resterions-nous cloîtrés pour le reste de nos jours à l’intérieur de ce fichu bâtiment, à devoir perpétuellement côtoyer ces gens qui ne nous comprendraient pas ? Allions-nous ne plus jamais voyager à travers le Monde ? Sans eux, sans ces Académiciens ? Mon Démon et son Ange ? Mes poings et mes dents se serrèrent. Je fermai les yeux pour ne plus rien voir, pour fuir le doute, pour fuir la réalité qui allait s’offrir à nous, pour fuir ce nouveau paradis, de mousse et de plastique. Plus jamais je ne les rouvrirai ! Plus jamais je n’oserai apercevoir la réalité autre-part qu’avec lui !


Sa paume s’apposa à ma joue humide. Je rouvris les yeux de surprise, et inspirai enfin en confondant mes enfers dans ses azurs. Le ciel était sombre sous le auvent. Nous entrâmes.

FIN.










Cette histoire fait partie de plusieurs cycles !











Noon

j'ai beaucoup aimé de que tu as écrit. C'est plein de surprises et de petits détails tout pipou. J'avoue que je n'ai pas tout compris, mais ça doit être lié au fait que tu écris sur un univers que tu maitrise déjà et que tu as probablement présenté dans d'autres textes. Je trouve que le retournement de situation lorsqu'ils arrivent à destination est super bien amené (je ne m'y attendais vraiment vraiment pas) et la manière dont tu as décrit la batisse changeante selon l'imagination de chacun est tellement bien trouvée.
Enfin bref, j'ai commencé à entrer dans un univers et ça m'a vraiment donné envie d'en savoir plus


Le 21/12/2021 à 20:59:00



Sourne

Un très très bon texte, si tu veux mon avis ( même si je trouve certaines phrases descriptives beaucoup trop longues ) ! Avoir le point de vu de Shelly est vraiment sympa, et tu retranscris très bien sa personnalité.
En plus d'être bien écrit, ton texte a réussi à me faire presque exploser de rire à deux moments quand tu brises le quatrième mur et quand Shelly que l'Académie " a l'air nulle "
Mais le plus important en plus d'avoir de quoi faire une page wiki, c'est qu'il pose plus de questions !
Comme avec qui mais surtout pourquoi Malkym a pactisé, s'il se souvient de l'ancienne Académie
Ah et dernier truc, cette phrase :« Je suis Malkym, tu es Shelly. Jamais plus je ne serai seul. Jamais tu ne le seras. » Juste... cette phrase.


Le 21/12/2021 à 21:00:00



Zyphea

Pour "Cœur rose et sang d'or". C'est un très bon texte^^. Bien écrit, avec des supers description (j'aime vraiment beaucoup trop les descriptions dans tes textes). J'avoue que j'ai pas suivi ton univers donc je m'y perd un peu mais sinon c'est cool a lire. J'aime beaucoup la relation entre Malkym et Shelly. Bref, très cool^^


Le 22/12/2021 à 18:39:00



Ellumyne

J'ai adoré ton texte @Malkym . C'est à chaque fois un réel plaisir de te lire. Tes descriptions sont toujours aussi bien écrites (et je suis aussi team phrases à rallonge, donc ça ne me gêne pas plus que ça ^^). La façon dont tu décris la transformation de l'Académie est bien trouvée (je ne pensais pas qu'elle pouvait prendre autant de formes, et encore moins qu'on pouvait être déçu par son apparence xD) et le point de vue de Shelly qui est émerveillée par absolument tout ce qu'elle voit est trop mignon.


Le 23/12/2021 à 19:52:00



JilanoAlhuin

Pour coeur rose et sang d'or : J'ai trouvé le texte superbe. Que ce soit dans la forme, les descriptions et tes personnages, c'est super. On retrouve également Shelly, et ça fait vraiment plaisir de voir comment elle voit ça, et le flash-back laisse également quelques questions, auxquels je suppose tu répondras dans de futurs textes (ou pas ??). Le petit quatrième mur brisé est également très sympa et a ajouté une petite dose d'humour chouette. C'est un super texte !


Le 08/01/2022 à 01:02:00

















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