L'Académie de Lu





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Academy Universe - ancien lore


Large quête et découvertes étranges

(par RoninBlanc)
(Thème : porteur)



Dans un large camp de base où loge une trentaine de personnes, un petit groupe est en train de rédiger un immense rapport. Ce dernier porte non seulement sur des découvertes archéologiques extrêmement étonnantes réalisées ces derniers jours mais aussi sur deux anomalies apparemment totales.

La première anomalie en question porte sur les bâtiments ou, devrait-on dire, sur de gigantesques ruines prĂ©sentes dans la zone explorĂ©e et dont il ne reste que quatre tours de deux fonctionner. Sur ces quatre tours Ă©tonnamment en bon Ă©tat par rapport Ă  tout le reste du site, une d’entre elle a particulièrement attirĂ© l’attention du petit groupe : une haute tour apparemment faite en ivoire et en laiton (chose dĂ©jĂ  fortement anormale) et intĂ©gralement de couleur rouge (ce qui Ă©tait encore plus anormal, car la maĂ®trise de ce pigment n’est pas censĂ©e ĂŞtre prĂ©sente Ă  l’époque de datation de ces vestiges.

La deuxième anomalie quant Ă  elle, d’un ordre autrement plus Ă©tonnant voire prĂ©occupant, concerne un « artĂ©fact » vivant !

Le groupe de cinq était tombé dessus alors qu’il cherchait à détruire toute une série de pièges qu’ils avaient détectés.


Après avoir détruit la moitié des pièges, une trappe s’était ouverte au beau milieu de la pièce dans laquelle le quintette avait alors pénétré.

Entrant prĂ©cautionneusement par le large trou ainsi dĂ©voilĂ© ils arrivèrent au niveau d’une large pièce octogonale dont l’intĂ©gralitĂ© des murs Ă©tait porteuse de larges glyphes et de runes apparemment intacts. Observant la pièce Ă  l’aide d’un scanner magique et d’un robot, le groupe vit, sur le cĂ´tĂ© droit de cette dernière, un large sarcophage de couleur ocre avec des inscriptions de couleur rouge tout autour de ce dernier. S’approchant sans prendre de prĂ©cautions supplĂ©mentaires (car aucun piège n’avait Ă©tĂ© signalĂ© par les deux analyses), les deux plus âgĂ©s du groupe purent ainsi constater qu’il y avait un ĂŞtre vivant dans le sarcophage, et qui plus est apparemment en parfait Ă©tat !

« Mais, un sarcophage et de telles constructions, cela devrait est impossible pour l’époque d’oĂą viennent apparemment l’hĂ©roĂŻne que nous avons vue plutĂ´t, non ? » dit l’une des deux personnes, une femme âgĂ©e d’une quarantaine d’annĂ©es.

« En effet, cela est extrêmement troublant et pour me pas dire quelque peu terrifiant de mon point de vue. Car ce à quoi nous sommes confrontés depuis notre entrée dans ces ruines ressemble à une sorte de collection de OOPART, ces objets semblant hors du temps duquel ils sont censés provenir. Ces murs couverts de signaux magiques, le sarcophage ainsi que l’apparent jeune humain présent dans ce dernier montre bien que nous sommes confrontés à quelque chose qui nous dépasse, même au vu de notre longue expérience, Juliette ». Tout en continuant d’examiner le sarcophage la dame opine du chef et semble murmurer quelque chose comme « pitié, pas de chaos ». Après cinq minutes de relevés divers et variés, tous se regroupèrent autour du sarcophage découvert et se questionnèrent sur la conduite à tenir quant à cette découverte absolument anormale.

Au bout de 12 minutes de discussion, alors qu’il Ă©tait arrivĂ© Ă  un accord sur un plan d’action concernant les dĂ©couvertes, le groupe entendit des sons aigus et graves en alternance derrière. Se retournant prestement, le quintette put ainsi voir le sarcophage parĂ© de 1000 couleurs scintillantes et tournoyantes autour de la pièce. La plus jeune du groupe, une femme spĂ©cialiste des objets technologiques et techniques, sortit de son sac un large orbe Ă©lectrique Ă  afin qu’il se dirige le sarcophage afin de vĂ©rifier si un mĂ©canisme de dĂ©fense s’est activĂ©. Une fois parvenu Ă  proximitĂ© du sarcophage, l’orbe activa divers rayons lumineux afin apparemment de perturber le mĂ©canisme du sarcophage, ce qui fonctionna parfaitement : toutes les couleurs scintillantes et tournoyantes auparavant Ă©mises par le sarcophage s’arrĂŞtèrent d’un coup et une douce musique de flĂ»te calme se mit Ă  sortir du lieu oĂą Ă©tait enfermĂ© l’être humain.

Après avoir remarqué cet apaisement sa réaction objet, l’intégralité du groupe se dirigea au courant vers ce dernier et commença à activer, par leurs gants spécialement dessinés et prévus pour cela, divers scanners afin de vérifier l’état de la personne présente dans le cénotaphe. Le résultat de leur scanner indiquant ni contamination, ni maladie interne, ni état déliquescent sur la personne, il fut décidé d’extraire délicatement le jeune être humain.

Ce fut la plus jeune du groupe (et la plus musclĂ©e) qui se chargea de cette dĂ©licate tâche. Pour cela elle commença Ă  entourer le corps du jeune homme (vivant !) d’une sorte de bulle d’eau magique puis le souleva grâce cette dernière ett le dirigea vers ses bras dans lesquels elle le rĂ©ceptionna.

Tous se dirigèrent alors prestement vers la sortie du lieu, en ayant alertĂ© le groupe principal de leur Ă©tonnante voir stupĂ©fiante dĂ©couverte. Tout en courant au travers des ruines prĂ©cĂ©demment traversĂ©es, la jeune NĂ©philim portant l’être humain dans ses bras fit cette longue remarque Ă  ses partenaires : « Maintenant qu’il est dans mes bras je ressens bien que son cĹ“ur bat et que l’intĂ©gralitĂ© de son corps semble en parfait Ă©tat ; cela me laisse tout Ă  fait perplexe car sur tous les autres cas de cĂ©notaphe auxquels j’ai eu affaire, aucun d’entre eux ne contenait d’êtres vivants. Quelqu’un aurait-il une idĂ©e ? »

Les deux autres jeunes du groupe firent alors remarquer que toute la série de runes et de glyphes entourant l’intégralité de la pièce dans laquelle le sarcophage était ainsi posé n’était sans aucun doute pas là par hasard. Il pense que cela devait d’une part possiblement servir de mécanisme de protection externe contre les intrusions et d’autre part comme mécanisme de préservation magique de la personne présente dans ce sarcophage, car ce dernier n’avait apparemment aucun mécanisme d’auto-préservation corporelle.

Parvenant Ă  la sortie de ces ruines, ils purent ainsi constater que toute autre partie du groupe s’était dĂ»ment prĂ©parĂ©e Ă  leur retour : une immense tente avait Ă©tĂ© dressĂ©e Ă  proximitĂ© de l’entrĂ©e de la zone et un brancard mĂ©dicalisĂ© avait Ă©tĂ© apportĂ©. La plus jeune femme du quintette dĂ©posa l’être humain sur le brancard et suivi les trois mĂ©decins du large groupe d’exploration en direction de la tente tandis que le reste du petit groupe raconta leur aventure et leur dĂ©couverte au reste du groupement d’exploration.


(version non définitive)



























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